Jeu de massacres – James Patterson

Un meurtrier, deux enquêteurs… et 52 cartes, avec Jeu de massacres voici la partie que nous propose James Patterson, l’auteur de thrillers le plus lu monde, avec Howard Roughan, et une traduction de Philippe Voltarino. Une à une les cartes s’abattent, pas que les cartes d’ailleurs, les victimes tombent…

jeu massacres patterson couverture

Jeu de massacres

Un meurtrier, deux enquêteurs… et 52 cartes

L’année 2019 commence par un vrai coup de cœur pour ce super thriller, très bien construit et qui se vit à un rythme très soutenu. Les chapitres très courts, deux à trois pages, contribuent à nous tenir en alerte, et c’est une vraie partie de carte à laquelle nous assistons.

Sauf, qu’à chaque carte qui s’abat, c’est une victime qui tombe. Le « Dealer », c’est ainsi que les medias vont appeler ce serial killer, a les cartes en main, et c’est lui qui distribue le jeu. La course-poursuite se déroule dans le super cadre de Manhattan et apporte cette touche supplémentaire qui en fait un thriller d’exception.

Également, le tandem Elizabeth Needham – Dylan Reinhart fonctionne à merveille. Ne vous attendez pas à une histoire d’amour, Dylan est homosexuel et marié à Tracy. Au milieu de ce suspense, l’auteur prend le temps de poser un regard intéressant sur l’adoption d’un enfant aux Etats-Unis par un couple de gay.

Jusqu’à la dernière page, je me suis demandé qui allait abattre le dernier atout. Pour les amateurs du genre, foncez-vous le procurer, vous ne le regretterez pas.

 

Résumé

UN MEURTRIER…

Le professeur Dylan Reinhart est l’auteur d’un ouvrage de référence sur les « comportements déviants ». Lorsque Elizabeth Needham, du NYPD, en reçoit un exemplaire accompagné d’une carte à jouer tachée de sang, tout porte à croire qu’un tueur s’intéresse à l’éminent docteur en psychologie…

DEUX ENQUÊTEURS…

Mais il apparaît vite que ce sang est celui d’un homme retrouvé poignardé à son domicile. Quant à la carte, un roi de trèfle, elle prend tout son sens lorsque Needham et Reinhart comprennent qu’elle désigne la deuxième victime d’un tueur que les journaux surnomment déjà le « Dealer ». Ces cartes ne sont donc pas une signature, mais les indices d’un jeu de piste dont Manhattan est le décor…

… ET 52 CARTES

Deux de cœur, neuf de carreau, valet de pique… Une à une, les cartes s’abattent. Et les victimes tombent. Une partie s’engage, qu’il faudra jouer jusqu’au bout. Jusqu’au moment où le Dealer perdra la main… à moins qu’il ait gardé un atout dans sa manche ?

 

James Patterson

Avec plus de 350 millions de livres vendus, James Patterson le plus lu au monde. En 2018, toutes ses nouveautés ont des listes des best-sellers du New York Times.

Parmi ses romans récemment publiés à l’Archipel : Tue-moi si tu peux, Lettres de sang.

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