Vent d’Est, vent d’Ouest, écrit en 1930 par Pearl Buck, traduit par Germaine Delamain, dépeint les conflits culturels entre la « vieille » et la « nouvelle » Chine avec un style plein de poésie.
Vent d’Est, vent d’Ouest
Tout d’abord, c’est un petit événement de publier une chronique littéraire chez Bernieshoot, normalement mes chroniques littéraires, ainsi que les informations sur la littérature, sont publiées dans mon blog Rainfolk’s Diaries. Au passage, si vous aimez lire, je vous invite à vous y abonner (un e-mail par jour au maximum).
Seulement voilà, Est, étant le thème du challenge photo Lundi Soleil 2022, c’était une occasion rêvée pour vous en parler ici.
Vent d’Est, vent d’Ouest est peut-être un livre que vous avez eu à lire de manière obligatoire lors de votre scolarité. Si vous n’avez pas encore lu ce petit bijou, alors foncez-vous le procurer.
La lecture de ce livre est très émouvante, certains considèrent que c’est e plus émouvant écrit par Pearl Buck. Avec sa plume poétique, elle nous décrit avec délicatesse le moment où les conflits de générations font surface entre « vieille » et la « nouvelle » Chine que tout oppose.
L’histoire
« Vent d’est, vent d’ouest » raconte comment une jeune femme chinoise élevée dans les traditions ancestrales (pieds bandés, préparation à une vie d’épouse soumise, etc) se retrouve au moment de son mariage déstabilisée par ce mari qui a étudié en Occident et en est revenu avec une toute autre idée de l’existence. Il ne peut échapper au mariage arrangé, mais est bien décidé à « libérer » son épouse des traditions qui selon lui ne peuvent plus continuer d’exister.
Résumé
Années 1920. Kwei-Lan « vient d’être mariée », sans le connaître, à un jeune Chinois auquel elle a été promise avant même sa naissance. Ce Chinois revient d’Europe, il a oublié la loi de ses ancêtres, il ne respecte ni les coutumes ni les rites… Le frère de Kwei-Lan, l’héritier mâle, dépositaire du nom et des vertus de la race, qui vient de passer trois ans en Amérique, annonce son mariage avec une étrangère ; il revient avec elle… À travers les réactions des membres de cette famille de haute condition où l’attachement aux traditions, le culte des ancêtres, l’autorité du père et de la mère n’avaient encore subi aucune atteinte, la grande romancière Pearl Buck nous fait vivre intensément le conflit souvent dramatique entre la jeune et la vieille Chine.
Pearl Buck
Pearl Sydenstricker (épouse Buck) est née en 1872 à Hillsboro, Virginie. C’est une femme de lettres américaine. Ses parents, presbytériens partent pour la Chine alors qu’elle n’a que trois mois. Elle apprendra donc le mandarin avant l’anglais.
En 1930, paraît son premier roman inspiré par la Chine qui ouvre un grand cycle romanesque : « Vent d’Est, Vent d’Ouest » (East Wind, West Wind).
Pearl Buck reçoit le prix Nobel de littérature en 1938 pour « ses descriptions riches et épiques de la vie des paysans en Chine et pour ses chefs-d’œuvre biographiques ».
Pearl Buck est décédée en 1973.
Connaissez-vous cette auteure ? Avez-vous lu un de ses livres ?
Oui j’ai lu ce livre il y a bien longtemps dans le cadre de mes études . J’avais été tres touchée par cette histoire .
Bonne semaine Bernie
merci
Non je ne connais pas cette auteur et malheureusement ce livre n’est pas sur mon site achat….Mais merci
C’est pourtant un classique
La romancière de mon adolescence… J’en ai tout oublié, à part le nom!
à relire alors
Oui j’ai lu plusieurs de ses romans dont celui-ci et « La mère ». Il faudra que je les relise
C’est une excellente idée
la tu me parles d’un temps il y à longtemps que je ne l ‘ai lu
tu me donnes envie de le relire
le l ‘avait mais je l ‘ai donné , (à la médiéthéque il y est..)
bonne journée Bernie
Oui ça ne date pas d’hier, mais le relire est un plaisir
Un roman parfait pour ton défi que j’ai lu pour la première fois lorsque j’étais adolescente et relu une fois..je crois avoir lu à l’époque une bonne dizaine de ses romans, j’avais adoré la découvrir !
C’est une immense auteure
Bonjour, plus jeune j’ai lu tous ses livres, elle m’a beaucoup dépaysée avec ses romans !
oui quel talent
Merci bien Bernie, bon lundi…
avec plaisir
c’ est le résultat de la mondialisation et du modernisme des transports
là c’était avant…
Si tous les mari chinois pourrait etre comme cela …. et surtout les politiques car de ce coté la, rien n’a changé en Chine.
Bon Lundi
oui…
je l’ai lu il m’a beaucoup intéressée et touchée
j’ai lu « la Mère » aussi Magnifique!!
bonne journée
totalement d’accord