Avec son premier roman Tout Quitter, Anaïs Vanel laisse une trace de son histoire, celle d’une réconciliation avec soi, d’une liberté retrouvée, d’émotions.

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Tout Quitter

Se jeter dans le bleu de l’eau…

Laisser tomber Internet, la télévision, la civilisation urbaine parisienne… tout plaquer pour se retrouver au milieu de plus de 100 kilomètres de sable…

Ce roman, c’est l’histoire d’une femme qui change de vie, et qui décide que le bleu doit faire partir de son quotidien. C’est une lecture pleine d’espoir, d’émotions simples, mais si précieuses.

Au rythme des saisons et des vagues de la Sud, la grande plage près de laquelle elle vient de s’installer, Anaïs retrouve les souvenirs qui habitent en elle.

Devant l’étonnante simplicité des choses, au bout, il y a la réconciliation avec soi.

Tout quitter, est-ce le retour au paradis fantasmé de l’enfance ?

La question que pose Anaïs est de savoir si nous sommes fiers de notre vie, si nous sommes en accord avec nous-même… Si la réponse est non, alors il faut suivre la doute d’Anaïs pour pouvoir se réconcilier avec soi-même.

Une très lecture, et j’avoue avoir été surpris par la justesse des mots, et la quiétude de ce premier roman, qui pour moi, va être une des révélations de cette rentrée littéraire.

Anaïs Vanel

« Un jour, j’ai acheté un Berlingo. J’ai mis quelques cartons dans le coffre et je suis partie. J’ai pris la route comme ça. Après ma journée de boulot, comme on part en week-end. J’ai avalé les kilomètres, en écoutant King of the road, de Roger Miller. Et enfin. Les pins. Les dunes. Les embruns. L’appartement. J’ai éventré les cartons. Trouvé mon maillot de bain. Et je suis allée me jeter dans les vagues. »

Anaïs Vanel

Anaïs Vanel, autrefois éditrice, se consacre aujourd’hui à l’écriture et à sa nouvelle vie sur la Sud. Tout quitter est son premier roman.

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