Rencontre intimiste avec Milan Roman, du masculin au féminin pluriel.

L’engagement de Milan Roman, en tant que mâle, en faveur de l’Amour Lesbien, interroge, y compris des Lesbiennes. Virginie Vanos vous offre une rencontre intimiste avec Milan Roman, du masculin au féminin pluriel.

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©Angelo Borrini

Milan Roman, du masculin au féminin pluriel.

Rencontre intimiste

Virginie Vanos : Bonjour Milan, pour bon nombre d’internautes, ce que tu écris, partage, intrigue. Qu’est-ce qui explique ton parcours ?

Milan : Je sais que, pour nombre de celles et ceux qui me connaissent un peu ou qui connaissent ce que je fais connaître sur mon site, la page Facebook qui lui est liée, mon engagement, en tant que mâle, en faveur de l’Amour Lesbien, interroge, y compris des Lesbiennes.

Pour beaucoup, cela s’explique et se limite au goût bien connu des mâles pour les Lesbiennes. Il suffit de lire ce que je publie pour comprendre que cela va bien au-delà. Dans mon enfance, je pense que j’étais un jeune garçon très ouvert au monde, aux formes de vie, aux jeux, au fait que, les femmes et les mâles sont les deux faces d’une même pièce, que la vie avait choisi cette face pour moi, comme elle aurait pu choisir l’autre face, et que, tout en étant évidemment différents, il y a une identité fondamentale entre femmes et mâles.

C’est déjà l’évidence, nous formons ensemble l’Humanité.

Mais cela va au-delà. Je n’ai donc pas été très étonné quand j’ai appris, plus tard, que les femmes ont un pénis, avec leur clitoris. Il y a donc des humains avec un tout petit pénis, et des seins souvent marqués, et des humains avec un plus grand pénis, et des seins absolument pas ou très peu marqués. Et puis, même s’il y a de la jouissance à en avoir un et à s’en servir (bien, s’il y a un désir réciproque), je n’ai pas été non plus très étonné de la proximité dans la langue française entre pénis et peine.

A l’inverse de quelques mâles très nombreux, je dirai que plus elle est grosse, plus elle est handicapante, comme pour quelqu’un quand sa taille est trop grande. Et chez les mâles, elle est déjà très grosse dans leur tête, puisqu’elle occupe une place centrale dans leur rapport à eux-mêmes, leur ridicule narcissisme (quand on pense que certains pour se « présenter » envoient une photo de !).

C’est pourquoi, après moult observations, je suis admiratif du corps/femme, même si je n’oublie pas qu’il est très exigeant pour elles, parfois très problématique aussi. Mais leur corps, votre corps, est, comme je l’ai appelé dans mon livre, sexuel/sensuel, dans une très large surface (extérieure comme intérieure).

Tout le monde le sait : la sensibilité d’un corps de femme est beaucoup plus grande, si, évidemment, la femme n’a pas été abîmée dans son enfance par… En outre, j’ai toujours été, aussi loin que je me souvienne, choqué par les moqueries des mâles sur les femmes, exprimées par des individus d’une vulgarité sans nom, et qui, se faisant, laissaient, laissent penser qu’ils seraient supérieurs.

L’Histoire des femmes m’a donc profondément intéressé, très tôt, et j’ai constaté que sur cette Histoire, il me faudrait me documenter par moi-même, parce que l’Ecole ne m’a pas donné cette connaissance de, parce que les cours d’Histoire étaient superficiels sur le sujet, parce que les médias étaient également déterminés par cette survalorisation de quelques affreux.

 

VV : Quelle est la genèse de ton site « Les Lesbiennes, ces Fleurs du Bien » ? Et quel message souhaites-tu faire entendre à ceux qui le visite ?

Milan : Cela fait treize ans que je l’ai commencé, avec l’ancienne plateforme, Vox, de Typepad, avant de passer à la plateforme actuelle ; Dès le départ, le blog a eu plusieurs objets : parler, évoquer, de toutes les manières possibles, l’Amour Lesbien, en France, et dans le monde, que cela soit par des séries de photographies, partagées dès lors que j’en ai l’autorisation, par des partages liés à l’actualité, par des notes concernant les formes, les évolutions, les problèmes rencontrés, par cet Amour des Lesbiennes.

La genèse provient donc de la certitude que l’Amour Lesbien est un remarquable, profond, Amour Humain, premier même en quelque sorte, dans la mesure où il est « total », sans aucun enjeu social, ni de pouvoir, ni de reproduction, etc. Ce qui ne veut pas dire qu’il soit nécessairement idéal. C’est un Amour humain. Des Lesbiennes, heureusement, très rares, et elles ont déjà été évoquées sur le blog, sont des femmes pas du tout admirables, au contraire.

Nous en trouvons, mais je le répète, rarissimes, et ce n’est pas un hasard, si elles sont si peu nombreuses, par comparaison avec les mâles qui leur ressemblent, violentes, racistes, stupides, sectaires. Récemment, un modèle, lesbienne, ce qui est plutôt rare, après que nous ayons commencé un contact sur Facebook, ne m’avais pas répondu à un message de présentation, et, finalement, quand elle l’a fait, cela a été pour me dire qu’elle trouvait que ce que je fais, écris, est dangereux pour les Lesbiennes, parce que je prétendrais être un porte-parole.

J’ai été étonné et choqué d’un tel propos, à contre-sens.

Déjà, j’étais certain qu’elle ne me lisait pas, n’avait pas lu mon livre, parce que, dans ce cas, elle aurait pu comprendre que, à aucun moment, je ne me considère comme un porte-parole. Je suis, forcément, à l’égard des Lesbiennes, vivantes, agissantes, à côté, à part. Elles ont leurs propres porte-parole, dans des associations, etc. En résumé, le message de cette jeune femme était : vous devriez vous taire. Elle est mal tombée.

Si je défends la liberté d’expression, dès lors qu’elle est justifiée, pertinente, ouverte au dialogue, si je défends la liberté d’être et d’expression des Lesbiennes, ce n’est pas pour que l’une d’elles vienne me dire que, me concernant, je suis tellement « exceptionnel » que, moi, je devrais être le seul à me taire. Dès fois, on se dit que des êtres humains, y compris des Lesbiennes, ne réfléchissent pas à ce qu’ils, elles, disent.

Mais je le répète : un tel cas est rarissime, tellement que c’est la première fois que je lisais l’expression d’un tel impératif. Le message, avec mon blog, c’est que l’Être et l’Amour, lesbiens, sont, de droit, que les Lesbiennes ont été, avec Sappho, les premières Humaines à parler d’Amour, bien avant tant de mâles, que l’Amour Lesbien a une grande Histoire, toujours actuelle, et d’ailleurs toujours plus étendu, divers, complexe – comme avec le cas étonnant de ces trois femmes qui, aux Etats-Unis, se sont mariées.

Les Lesbiennes ont toujours été avant-gardistes, dans l’avant-garde des évolutions comportementales, sociales, intellectuelles, mais cette place est encore méconnue, si ce n’est complètement ignorée. Enfin, le message est : laissez vivre, libres, les Femmes, quelles qu’elles soient, et vous en serez d’autant plus heureux.

Et cela passe par des protections adéquates, multiples, puisque trop de mâles sont des prédateurs, dangereux.

Le blog a aussi pour objet de leur apprendre à mieux connaître les Femmes, Lesbiennes ou non, dans leur diversité, leur créativité, leurs subtilités. On devrait avoir plusieurs objectifs : réduire les violences et les crimes, sexuels, les assassinats de femmes, par des conjoints, à zéro ou presque zéro. Actuellement, on perçoit une grande demande des femmes en ce sens, mais la réponse sociale, publique, n’est pas à la hauteur. Il y a encore des faits divers tragiques qui pouvaient, pourraient, être éviter, et ne le sont pas parce qu’il y a des pesanteurs, étatiques, judiciaires.

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©Angelo Borrini

 

VV : Nous avons récemment évoqué le vaste sujet des avancées sociales. Quelles sont celles qui te tiennent le plus à cœur ? Lesquelles considères-tu comme les plus abouties à l’heure actuelle ?

Milan :  Pour les homosexuelles, les homosexuels, que je préfère pour ma part appeler des homoaffectifs comme je m’en suis expliqué dans mon essai sur «Les Lesbiennes, ces Fleurs du Bien », puisque, en effet, ce qui détermine leur préférence pour une autre personne n’est pas sexuelle, mais affective, dans la mesure où ils désirent une personne pour ce qu’elle est et pas pour une partie de ce qu’elle est (ses «organes sexuels»), la vie dans de nombreux pays du monde est devenue, relativement, plus simple, plus facile – relativement.

Il y a toujours des dangers.

Elles et ils doivent faire attention. Le Troll mâle rode toujours. Et même si leur vie est devenue plus facile, qu’elles et ils peuvent être acceptés, et plus encore, il reste que, pour les désigner, un terme comme « homosexuel » les réduit à. On dira que les hétéroaffectifs ne sont pas gênés d’être qualifiés d’hétérosexuels. S’ils acceptent de réduire leur désir/amour au sexe de l’autre personne, cela les regarde, et cela en dit long sur eux. Je pense que nous vivons une révolution, mondiale – elle est en cours, elle n’est pas terminée, donc elle n’est pas encore effective.

Pour moi, cette révolution, pacifique, met fin à la place, surpuissante, des mâles destructeurs, et celles qui incarnent ce processus, cette fin recherchée, ce sont les femmes, et singulièrement les Lesbiennes. L’une des plus grandes avancées sociales, dont on ne parle pas, est la « pacification » des mœurs, non pas en tant que nous sommes devenus des moutons, mais parce que nous avons le goût de la paix, en tant que condition des relations humaines.

Souvent, on dit que le monde est dangereux, de plus en plus dangereux, violent, etc., parce que les médias, et nous, nous nous focalisons facilement sur les conflits, les violences. Mais si on les ramène à l’échelle démographique, à la vie des peuples, ces logiques de destruction réciproque sont minoritaires. Evidemment, je ne suis pas idéaliste. Je ne dis pas que ces logiques ont disparu. Sinon, la Révolution serait réalisée ! Mais elles sont toujours plus minoritaires, en proportion, et il faut dire que certains mâles en ont parfaitement conscience, qu’ils détestent cela, et qu’ils redoublent de violence.

Ils ne veulent pas disparaître. Ils pensent qu’ils doivent exister comme tels. Alors qu’ils ont à évoluer, changer. Mais ils sont attachés à leur dose de testostérone. Il faut les aider à être moins addicts à. Les évolutions sociales, avancées, sont celles qui concernent principalement les femmes.

Nous vivons un temps d’accélération de ces évolutions, avancées. #Metoo et d’autres mouvement révèlent l’état présent du monde, d’une partie du monde, et projettent un avenir meilleur. Le désir de, est à nouveau fort. Les femmes, singulières, font changer le monde, petit à petit, par leurs créations, comme ces femmes modèles qui imposent leur être/corps/nu partout, ces artistes cosplayeuses, par leurs luttes de terrain.

Dans certains pays, elles sont extraordinairement courageuses, parce qu’elles sont confrontées à la violence de base des mâles prétentieux et affreux. C’est d’ailleurs fascinant de voir que, dans certains pays, heureusement rares, des mâles sont engagés dans une compétition entre eux, sur le principe « sois laid et ouvre ta gu…. ».

Cette auto-autorisation des mâles à être, sales, moches, etc, devrait quand même nous interpeller. Dans le système scolaire mondial, les filles occupent une place toujours plus importante, parfois majoritaire. Elles le méritent : elles sont plus sérieuses, studieuses, subtiles. Trop de garçons confondent le sens de leur « virilité » avec la grossièreté, la bêtise.

Sur le plan politique, les femmes qui ont réussi à devenir des figures importantes l’ont souvent fait en imitant les mâles, et le pire des mâles. Il y a beaucoup à faire, dans ce domaine.

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©Angelo Borrini

 

VV : Tu sembles très peiné quand on évoque le douloureux sujet de la violence des mâles envers les femmes… Pourrais-tu nous expliquer ton implication qui me semble si vivement émotionnelle ?

Milan : Je n’ai pas reçu une éducation idéale, telle que je peux la concevoir. J’ai plutôt été élevé comme le garçon, « privilégié ». Ce type d’éducation me paraît dangereuse, parce que cela habitue les petits garçons, qui deviennent grands, à avoir des exigences sur et contre les filles, les femmes, dont, eux, seraient libres. J’ai pu rencontrer des femmes rebelles à, qui m’ont beaucoup appris, sur leur vie, leurs droits.

La violence mâle, sans être omniprésente, sans être générale, reste d’une très grande intensité, et dans certains pays, d’une plus grande intensité encore. C’est ce qui m’a conduit, très tôt, à parler de féminicides. Que des mâles pensent disposer d’un droit spécial pour toucher le corps des femmes, notamment pour y exercer des violences, me scandalise, parce qu’il s’agit d’une fiction, d’une folie, d’un mensonge.

Aucun mâle, même un père, n’a un tel droit.  Et ce quelle que soit la violence, quelles que soient les violences. L’excision, par exemple, est un crime. Le viol, en est un autre. Pourtant, judiciairement, il est faiblement condamné, sauf exception.

Et avec les récidivistes, au moins pour ceux-là, il faudrait quand même réfléchir sérieusement à la castration chimique, voire physique pour les cas les plus graves. Dès que l’on prive un mâle violent de sa dose de testostérone, il manque de l’énergie qui conditionne sa potentielle violence. Je préférerais que cela passe par la chimie, mais s’il le faut, pour les cas les plus graves, je pense que la castration physique peut s’imposer.

On me dira que c’est en contradiction avec le fait que je dis qu’il ne faut pas toucher aux corps des femmes, donc aux corps des mâles aussi. Sauf qu’avec ceux qui sont des violeurs en série, il n’y a pas d’autres solutions. En plus, en stoppant l’alimentation en testostérone, on les libérerait de.

 

VV : Quel message voudrais-tu adresser à ce que l’on nomme les Mâles Alpha ?

Milan : Ils ont besoin de se regarder dans un miroir. Hélas, c’est ce qu’ils font beaucoup. Ils sont très narcissiques. Mais ils ont besoin de dépasser ce stade. Au-delà des images, il y a les êtres. Les femmes qu’ils violentent ne sont pas des êtres fictifs, elles existent vraiment. Ce sont des handicapés de l’empathie.

Peuvent-ils être conscients de cela ?

Sinon, il faut les aider de force. Et si oui, tant mieux. En tout cas, ils ont besoin d’aide. Plutôt que de penser, croire, qu’ils n’ont besoin de personne, qu’ils n’ont pas besoin d’être aidés, même soignés, ils doivent reconnaître qu’ils sont souffrants, malades. Hélas, le nombre de ces mâles alpha est élevé, et la politique telle qu’elle fonctionne est une incubatrice pour ces mâles.

C’est pourquoi il faut travailler à changer profondément la politique.

 

VV : Revenons au saphisme. Quelles sont pour toi les différences fondamentales entre les couples lesbiens et hétéros ?

Milan : Les différences sont de fait, et plus encore. Entre un couple lesbien et un couple non lesbien, on compte donc trois petits pénis et un moins petit. Donc, dans un couple non lesbien, la femme est face à une femme autre, un mâle. Beaucoup trop de mâles s’ignorent comme tels. Beaucoup aussi en ont l’intuition.

Ceux qui le savent peuvent donc essayer d’être un couple lesbien différent ! Les couples lesbiens sont l’essence humaine réalisée. Une femme qui est avec une femme n’est pas dans une compétition avec quelqu’un d’autre, n’a pas à penser au problème de la reproduction de l’espèce. Les Lesbiennes sont donc les humaines/humains libérés de. Dans leur relation, elles sont vraiment l’une avec, l’une pour l’autre, et réciproquement.

Une des premières différences réside donc dans l’intensité de la relation, notamment la relation sensuelle/sexuelle. Si, avec le mâle, la « petite mort » lui coupe les pattes, si je puis dire, avec les Lesbiennes, un orgasme ne met pas nécessairement fin au désir.

Les témoignages et les études scientifiques concernant ces plaisirs de l’Amour Lesbienne convergent tous, si je puis dire là encore, sur une certitude : les Lesbiennes sont les femmes dont les jouissances sont les plus grandes. Du coup, un récent article de Vice, sur le goût des femmes pour la représentation des plaisirs lesbiens, exprime l’évidence, la logique. Elles savent, elles ont compris, elles apprécient.

 

Enfin, ces couples sont fondamentalement plus égalitaires. Les enfants ont deux mamans, et c’est une situation très puissante pour eux, si, bien entendu, les mamans sont de bonnes mamans. Mais de ce que l’on sait, la majorité des femmes lesbiennes en couple sont de bonnes ou très bonnes mamans.

Les couples hétéros peuvent être de beaux et bons couples, sous condition. Les couples lesbiens également, toujours sous condition, mais les conditions en question sont plus faciles, pour elles. Ont-elles moins de mérite ? Non, car elles ont dû résister à toute la pression sociale qui, à priori, niait, nie encore la valeur de leur être et de leur être couple, au motif que, une femme, cela doit vivre avec un mâle.

Non. Cela ne « doit pas ».

Cela peut.

Et cela peut, si le mâle est digne, fait des efforts, etc.

 

VV : Finissons par un voyage en Utopie. Comment rêves-tu le monde de l’An 2200 ?

Milan : Je suis heureux que tu évoques 2200. A priori, nous ne serons plus là. Mais c’est positif de se dire que des êtres humains seront là. Parce que cela signifie que les dangers qui nous menacent auront été dépassés, vaincus.

Ouf !

Alors, dans ce monde, évidemment, j’imagine que, même s’il n’y aura plus de dirigeants à vie, séparés des autres, la majorité des « leaders » seront des femmes. La paix dans le monde permettra l’épanouissement des vies, de toutes les vies, humaines, des vies animales, des Fleurs. Mon rêve est que nous faisions de la Terre un immense Jardin, avec les Fleurs physiques, et les Fleurs métaphysiques, les Lesbiennes.

Les voyages dans l’espace auront commencé. Nous aurons également réussi à aller au plus près du centre de la Terre, par des chemins étonnants – c’est quand même terrible de se dire que le célèbre livre de Jules Verne « Voyage au centre de la Terre » n’a conduit à rien…

La Terre sera placée sous la protection d’une unité de gardiennes/gardiens. Les gardiennes pourront être clairement et facilement Lesbiennes ou bi, ce sont elles qui choisiront leurs éventuels partenaires mâles. Les représentations mentales seront extrêmement complexes : elles seront du cinéma, et bien plus, elles seront musicales, olfactives, sensitives, et elles associeront des représentations du désir interhumain.

VV : Je te remercie très chaleureusement de ce temps que tu m’as consacré.

virginie vanos marc naesen
Virginie Vanos © Marc Naesen

Une rencontre signée Virginie Vanos

(Re) découvrez l’interview de Virginie Vanos qui nous parle de son dernier roman Anna Plurielle

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Bernie
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6 commentaires

  1. en ce qui me concerne, je pense que l’ homme et la femme sont complémentaires, mais comme toujours, il y a des exceptions
    Bonne journée Bernie

  2. Une conversation très intéressante que j’ai lue avec plaisir.
    Je ne connaissais pas ce monsieur mais il défend ses idées avec beaucoup d’intelligence et de pertinence.
    Merci pour cette découverte.
    Bon jeudi, soleil ☼ !

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