1er réseau de campings franchisés de France, Flower Campings comptabilise aujourd’hui plus de 130 sites déployés sur l’ensemble du territoire. Forte de l’expertise qu’elle a su développer dans son secteur depuis 2013, l’entreprise se présente comme une alternative aux gros complexes d’hôtellerie de plein air.
Conscient des mutations dans le domaine du tourisme de plein air, le réseau doit en partie sa réussite à une analyse constante de son environnement et des tendances qui rythment son évolution. Après une avant-saison de bon augure pour l’hôtellerie de plein air, Flower Campings livre son analyse optimiste des tendances pour la saison estivale 2018.
Les tendances de l’hôtellerie de plein air pour l’été 2018, par le réseau Flower Campings
Une avant-saison positive marquée par une hausse de la fréquentation
Malgré une météo peu avantageuse, le calendrier favorable de cette avant-saison offre à l’hôtellerie de plein air des conditions propices à l’accroissement de l’activité.
Depuis le début de l’année 2018, Flower Campings affiche des objectifs de croissance et de développement de son réseau. Face à une croissance qui se poursuit dans le domaine du tourisme de plein air, le réseau de campings développe une dynamique positive qui se traduit par une progression du nombre de nuitées de 12,8% à la fin mai.
Une tendance à la hausse pour ce début d’année, qui se poursuit sur l’ensemble de l’avant-saison.
« Nous prévoyons sur l’avant-saison, de fin mars à début juillet, une progression globale de la fréquentation de l’ordre de 26 %. Ces prévisions peuvent en grande partie s’expliquer par le calendrier favorable des congés de la mi-avril à la mi-mai et la concentration des vacances de Pâques et des ponts du mois de mai. Nous avons également noté une progression des clientèles néerlandaise et allemande sur la deuxième quinzaine du mois de juin, due à des départs anticipés » explique Laurent Seigne, Président de Flower Campings.
Un changement de clientèle et des habitudes de fréquentation
Outre les avantages calendaires, les habitudes de fréquentation des vacanciers évoluent, notamment concernant les zones géographiques privilégiées par ces derniers pour le tourisme en bord de mer, comme pour les séjours intérieurs.
Si le Languedoc-Roussillon reste leader en termes de progression du nombre de nuitées avec une hausse de 30%, de nouveaux foyers d’intérêt gagnent en popularité auprès des campeurs, à l’instar de la Vendée et de la Loire Atlantique où la progression atteint les 25%.
Une augmentation du nombre de nuitées qui profite aussi au tourisme intérieur qui, bien qu’en deçà des résultats précédents, confirme une dynamique globale, à l’échelle de l’ensemble du réseau. Et c’est dans le Sud-Est que Flower Campings enregistre les progressions les plus significatives, allant de 14% pour la Drôme et l’Ardèche, à 18% pour la Provence.
« Ces évolutions constantes dans la vie de notre réseau de campings sont un bon reflet de notre capacité à intégrer des tendances et des changements extérieurs dans une optique de développement. Et cette stratégie de renouvellement plaît d’ailleurs en dehors de nos frontières, notamment chez nos voisins européens. Nous avons vu le marché allemand progresser de 25%, et un retour du marché néerlandais qui croît de 22% après 2 années de croissance difficile »
Les prévisions pour la saison estivale dynamisées par le succès du camping traditionnel
Flower Campings entend prolonger le succès de l’avant saison en tirant parti du regain d’intérêt pour le camping traditionnel.
Le réseau prévoit ainsi une augmentation des nuitées de 10% sur la haute saison, en misant sur l’attractivité accrue du mois d’août, surtout sur la deuxième quinzaine.
« Notre optimisme pour la saison estivale s’explique par un simple constat concernant l’attractivité du tourisme de plein air traditionnel. Nous estimons aujourd’hui la progression des nuitées sur emplacement nu à près de 19%, contre 9% pour le locatif, sous réserve bien entendu d’une météo favorable. Notre positionnement sur ce créneau et l’esprit familial de Flower Campings nous permettent de tirer le meilleur parti de cette tendance en proposant à nos campeurs de profiter d’un cadre unique dans chacun de nos campings. »
Il m’est arrivé de fréquente ce genre de campings, comme l’année dernière mi septembre dans l’arrière pays Niçois mais toujours hors saison. L’été, c’est hors de question même pas dans mes pires cauchemars….
Hors-saison c’est un vrai plus, je n’envisage plus de bouger l’été.
C’ est peut être dû à la baisse du pouvoir d’ achat, et aux vacances morcelées, et c’ est un créneau à exploiter !
Bonne journée Bernie
les changements sociétaux ont modifié les habitudes, même pour les vacances.