« L’homme qui plantait des arbres » est un conte écologique avant l’heure écrit par Jean Giono, entièrement réillustré en couleurs par le talentueux Olivier Desvaux et publié chez Gallimard Jeunesse dans la collection Folio Cadet. A lire dès 8 ans.
L’homme qui plantait des arbres
Un hymne à la nature qui a fait le tour du monde.
Voici un livre, que je vous conseille vivement de glisser dans les mains des enfants dès huit ans, car faire découvrir Giono aux plus jeunes, c’est leur offrir un vrai moment de poésie, une rencontre avec la nature, une approche de l’écologie qui ne dit pas son nom en respectant les arbres, des valeurs de solidarité et de citoyenneté.
Avec des illustrations d’une très grande qualité, vous allez retrouver cette belle histoire, ce conte à lire et relire.
Au cours d’une de ses promenades en Haute-Provence, Jean Giono a un jour rencontré un personnage extraordinaire : un berger solitaire et paisible qui plantait des arbres, des milliers d’arbres.
Ainsi, au fil des ans, un homme seul allait rendre vie à une contrée aride et désolée. Jean Giono nous fait découvrir une merveilleuse aventure pleine de tendresse et de générosité
Quatrième de couverture
En Provence, dans une région aride et sauvage, un berger solitaire plante des milliers d’arbres. Au fil des ans, les collines autrefois nues reverdissent et les villages désertés reprennent vie.
Voici l’histoire d’Elzéard Bouffier, le silencieux, l’obstiné, celui qui réconcilie l’homme et la nature.
Jean Giono
Jean Giono est né en 1895 en Haute-Provence. D’abord employé de banque, il quitte tout pour se consacrer à la littérature en 1930.
Dans son œuvre, la nature tient une grande place.
Quand il était petit, il partait se promener avec son père, des glands plein les poches, pour les planter dans la terre.
Il est mort en 1970.
Olivier Desvaux
Olivier Desvaux est né en 1982 à Rouen. Après un bac littéraire/ arts plastiques en 2001, il étudie une année en arts appliqués à l’école Estienne à Paris, puis est ensuite diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs en 2006.
On devrait même le lire à l’ école
Absolument, lire Jean Giono dès le plus jeune âge ne peut faire que du bien.