Du 20 octobre au 1er novembre 2025, La Maison Péruvienne pose ses valises à la Galerie Bouquières pour un événement inédit. Vous êtes passionné par l’artisanat, les cultures ancestrales et les objets porteurs d’histoire ? Ce pop-up toulousain est une invitation à voyager à travers les montagnes, les couleurs et les traditions vivantes du Pérou.
À mi-chemin entre concept-store, galerie d’art et musée vivant, cette vente-exposition imaginée par Cécilia Espinoza promet une expérience sensorielle et humaine rare. Ici, chaque objet raconte un peuple, une mémoire et un savoir-faire transmis avec amour.
La Maison Péruvienne : Un événement culturel inédit à Toulouse
Après avoir conquis Paris – du Printemps Haussmann à l’UNESCO, en passant par le Marais – puis charmé Biarritz lors du Festival du Cinéma de l’Amérique Latine, La Maison Péruvienne choisit aujourd’hui Toulouse pour poursuivre son aventure.
Du 20 octobre au 1er novembre, la Ville Rose devient le théâtre d’un dialogue entre modernité et tradition, entre création contemporaine et héritage millénaire. Ce pop-up offre aux visiteurs une immersion totale dans la richesse du patrimoine culturel péruvien, à travers une sélection de pièces d’exception 100 % faites main en Baby Alpaga ou en matériaux naturels issus des Andes.
Mais au-delà de l’esthétique, ce lieu éphémère défend aussi une valeur essentielle : le commerce équitable. En collaborant avec l’association Espace Couture, La Maison Péruvienne contribue à offrir une meilleure chance d’émancipation à des femmes grâce à leur savoir-faire textile.
Des pièces maîtresses entre art, design et spiritualité
Pousser la porte de la Galerie Bouquières, c’est découvrir un univers vibrant, où l’artisanat péruvien devient une forme d’art vivante.
Parmi les pièces phares exposées, vous pourrez admirer :
- Les miroirs soleil, emblèmes de la lumière et de la prospérité ;
- Les bougeoirs en fer peints à la main par les maîtres artisans Amauta ;
- Les textiles Kéné, hérités du peuple Shipibo-Konibo, dont les motifs sacrés incarnent la connexion spirituelle à la nature ;
- Et bien sûr, des accessoires brodés à la main, véritables condensés de chaleur et de poésie andine.
Chaque création, minutieusement sélectionnée, est porteuse d’une histoire, celle de communautés qui perpétuent des techniques millénaires tout en s’ouvrant au monde.
La Maison Péruvienne : L’art du tissage, un héritage vivant
Dans la Vallée Sacrée des Incas, à Chinchero, les tisseuses péruviennes façonnent depuis des siècles des tapis et étoffes colorées d’une finesse exceptionnelle. Ces textiles tissés à la main témoignent d’un art vivant riche de plus de 5000 ans d’histoire.
Cécilia Espinoza, fondatrice de La Maison Péruvienne, souligne :
“Les pièces que je propose viennent directement du Pérou et nous rémunérons les artisans sans intermédiaire. Parfois, je vais moi-même chercher des produits dans des villages très reculés, car ce sont ces endroits-là qui recèlent le plus de culture, de traditions et de savoir-faire.”
Ces mots traduisent une conviction profonde : l’artisanat péruvien n’est pas un folklore, mais une expression authentique d’une identité collective. En achetant une pièce, vous ne faites pas seulement un geste esthétique ; vous soutenez une économie locale, vous préservez une culture, et vous contribuez à un monde plus équitable.
Deux ateliers immersifs à ne pas manquer
Pour prolonger l’expérience, La Maison Péruvienne propose deux ateliers participatifs :
- Une séance de méditation inspirée des traditions andines, pour explorer la sagesse millénaire des montagnes péruviennes.
- Une initiation à la broderie ayacuchana, art textile emblématique des Andes, transmis de mère en fille.
Ces moments d’échange vous permettront de vous reconnecter à l’essentiel, tout en découvrant la beauté du geste artisanal. Vous repartirez avec des souvenirs uniques… et sans doute un peu du Pérou dans le cœur.
Cécilia Espinoza : une femme, une vision, une mission
Derrière ce projet se cache Cécilia Espinoza, une femme passionnée par la culture et les traditions de son pays natal. En créant La Maison Péruvienne, elle a voulu faire dialoguer tradition et modernité.
Avec le soutien de l’Office de promotion du Pérou, elle défend une double ambition :
- Partager des pièces uniques qui racontent l’histoire d’un peuple et de sa terre.
- Soutenir les artisans et petites entreprises locales, en leur garantissant une juste rémunération.
Aujourd’hui, La Maison Péruvienne s’impose comme un acteur culturel émergent, bâtissant des ponts durables entre la France et le Pérou. Elle contribue à faire rayonner l’artisanat péruvien sur la scène internationale, tout en sensibilisant le public à la consommation responsable et éthique.
La Maison Péruvienne : Informations pratiques
📍 Galerie Bouquières – 33 rue Bouquières, 31000 Toulouse
🚇 Métro Ligne B, station Carmes
🗓️ Du 20 octobre au 1er novembre 2025
🕚 De 11h à 19h, tous les jours
Conclusion : un voyage sensoriel et solidaire à ne pas manquer
En franchissant les portes de La Maison Péruvienne, vous ne visitez pas une simple exposition. Vous vivez un voyage culturel, une rencontre entre deux mondes, un pont entre les Andes et la Garonne.
Cet événement est bien plus qu’une vitrine d’artisanat : c’est un appel à la curiosité, à la solidarité et à la beauté du fait main.
Alors, si vous aimez l’art authentique, les objets porteurs d’âme et les expériences qui ont du sens, ne manquez pas cette escale péruvienne à Toulouse.
Et vous ?
Avez-vous déjà découvert les trésors de l’artisanat andin ou participé à une expérience culturelle immersive ?
👉 Partagez vos impressions, vos coups de cœur et vos envies de voyage en commentaire !












très coloré et plein de soleil cet artisanat
Oui, j’aime beaucoup.
L’initiation à la broderie péruvienne me tenterait bien
C’est un super atelier.
C’ est plus simple qu’ un voyage au Pérou
C’est certain.
c e doit être très agréable aussi de voir l’art d’autre pays…..mais facile parfois à voir ou à comprendre….il faudrait pouvoir aller sur place…douce journée
Ce serait un vrai plus, mais c’est déjà bien.
Un pays que j’aurai aimai bien visiter …
C’est toujours possible.
Non Bernie, mais à ne pas manquer si du coin…. merci, jill
Je suis d’accord.