Invigo « I Just Wanna Dance » : le clip solaire de Solua

Plongez dans un univers pétillant et lumineux avec « I Just Wanna Dance », le dernier clip de l’album Solua. Véritable explosion de joie et de liberté, ce morceau clôture le projet en beauté, mêlant insouciance et éclats de lumière dans une ambiance résolument kitsch et électrisante. Une invitation à lâcher prise, à danser sans retenue et à célébrer la vie, portée par des rythmes entraînants et une esthétique solaire. Prêt à vous laisser emporter ? 💃 🎵

Un vent de liberté souffle sur la sortie de Solua

Vous aimez danser, vous laisser porter par la musique sans penser au reste ? Alors I Just Wanna Dance, troisième et dernier clip de l’album Solua d’Invigo, pourrait bien devenir votre bande-son de l’été. Ce morceau électro-house ultra rythmé, porté par une esthétique vintage assumée, clôture en beauté le projet musical aussi hybride qu’envoûtant d’un artiste singulier.

Plus qu’un simple clip, I Just Wanna Dance est une déclaration d’amour au mouvement, à la lumière et à l’audace. Avec humour, légèreté et une dose assumée de kitsch, Invigo nous embarque pour une ultime danse.

Un décor culte, un kimono et une liberté totale

Le clip s’ouvre sur un décor qui en impose : l’iconique Musée d’art contemporain de Niterói, au Brésil. Chef-d’œuvre futuriste signé Oscar Niemeyer, le bâtiment semble flotter dans le paysage, comme un OVNI architectural. Face à lui, un personnage en kimono se déhanche sans retenue.

Ce choix visuel, loin d’être anodin, reflète une volonté claire : celle de célébrer l’expression libre du corps, hors des normes, des codes ou des regards. Ici, pas de performance millimétrée, mais une joie simple, communicative.

La danse devient langage, moyen d’affirmation et d’élévation. Vous êtes invités à bouger, vous aussi, sans autre raison que celle de ressentir.

Une esthétique rétro et solaire assumée

Impossible de passer à côté de la patte visuelle de ce clip. Fidèle à l’univers de Solua, I Just Wanna Dance s’affirme avec des choix artistiques forts : papiers peints psychédéliques, fruits ultra saturés, plans en split screen, effets de pellicule granuleuse.

Tout ici évoque les années 70 : leurs couleurs vives, leur insouciance, leur goût pour l’expérimentation. Le clip devient un kaléidoscope de sensations, un clin d’œil à une époque où tout semblait possible.

Cette nostalgie visuelle n’a rien de passéiste : elle sert une intention contemporaine, celle de réhabiliter la spontanéité et la joie pure.

Solua, un album-concept aux multiples facettes

Avec ce troisième clip, Invigo achève le cycle visuel de son album Solua, sorti le 30 mai. Ce projet singulier, pensé comme une journée musicale entre soleil (sol) et lune (lua), alterne plages instrumentales et morceaux chantés.

Chacun des titres explore un territoire différent, tant sonore que symbolique. Loin des formats classiques, Invigo crée une œuvre complète, où chaque piste, chaque image, chaque son participe à une narration intime et onirique.

Multi-instrumentiste, réalisateur, et auteur de son propre univers, l’artiste a tout façonné de ses mains. Une démarche rare, qui donne à l’album une cohérence précieuse.

Des clips comme des contes sensoriels

Avant I Just Wanna Dance, Invigo avait déjà posé les jalons de cet univers avec deux clips forts.

Otxie Otxia, une ouverture solaire

Premier extrait de Solua, le titre Otxie Otxia figurait sur la compilation Universalismo du label Partyfine (fondé par Yuksek). Ce morceau downtempo rendait hommage à la musique brésilienne, avec des accents de saudade et une atmosphère chaude, presque méditative.

Amaya, une rêverie mystique

Deuxième morceau dévoilé, Amaya nous transportait entre la jungle et les rituels sacrés. Tourné en Super 8 entre le Brésil et la France, le clip mettait en scène une figure divine, célébrant la nature et la danse.

Ici encore, tout est sensoriel, poétique, baigné de spiritualité. Guitares acoustiques, percussions brésiliennes, synthés planants et un gimmick vocal hypnotique composaient une fresque immersive.

Ces deux clips, très différents dans leur ton et leur rythme, témoignent de la richesse et de la cohérence de l’univers Solua.

Une démarche sincère

Ce qui frappe dans le travail d’Invigo, c’est l’authenticité. Tout est fait maison : de la composition à la réalisation, des visuels à la mise en scène. Pas de gros budget, mais une vision forte et personnelle.

En enregistrant au studio Motorbass avec Louis Gallet, ancien assistant de Philippe Zdar, puis en confiant le mastering à Simon Lancelot (studio Ferber), Invigo s’est entouré d’artisans du son. Cela s’entend dans chaque détail de l’album.

Et ce soin extrême ne s’arrête pas à l’audio. Les images, les textures, les mouvements de caméra traduisent une recherche esthétique sincère, tournée vers l’émotion.

Un concert à ne pas manquer

Pour prolonger l’expérience, Invigo sera en concert le 11 juin au PopUp! à Paris. L’occasion de découvrir l’univers de Solua en live, de ressentir la puissance des sons et l’énergie de la danse dans un cadre intimiste.

Vous y serez peut-être surpris, émus, ou simplement heureux de vibrer au rythme d’un projet qui mise tout sur l’émotion et la liberté.

Conclusion : Et vous, quand avez-vous dansé pour la dernière fois ?

Plus qu’un simple clip, I Just Wanna Dance est une invitation. À bouger, à lâcher prise, à retrouver ce plaisir simple et universel qu’est la danse.

Dans un monde souvent saturé de contraintes, Invigo nous rappelle l’importance de l’instant, de la lumière, du corps qui s’exprime librement. Et si le kitsch était la forme la plus joyeuse de liberté ?

🎤 Et vous, que vous inspire cette danse libérée ? Avez-vous été touché par l’univers de Solua ?
Partagez vos impressions en commentaire, vos émotions, vos envies de danser. 💬🕺💃