C’est un déconfinement à l’odeur de « bouc » qui anime les agents du Syndicat mixte du Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises en charge du suivi du bouquetin !
Un déconfinement à l’odeur de « bouc »
En effet, les mises-bas ont lieu actuellement chez les femelles bouquetins et les agents veillent au grain pour contrôler le nombre de jeunes cabris et la bonne santé de la population comptant environ 150 individus.
Évidemment, tout ceci en respectant les gestes barrières avec les bêtes à cornes (pas d’embrassades ni de contacts physiques).
Les dénombrements actuellement en cours permettront d’avoir des premiers chiffres lors des tous prochains jours.
Nous le savons désormais, le confinement a eu un impact positif sur la faune sauvage. Un moment de répit pour lui permettre de vivre sereinement sans dérangement quelconque. Le bouquetin semble logé à la même enseigne, même si naturellement, sa distance de fuite est assez faible.
Qu’en pensez-vous ?
Alors à vos pronostics ! D’après vous, combien de cabris seront déconfinés du ventre de leur mère en 2020 ?
Bonjour Bernie
Quel magnifique animal.
@mitié
Oui, c’est un très bel animal
On aime lire de si jolies nouvelles. Si la nature a repris ses droits, faut-elle qu’elle les rende maintenant que l’homme est déconfiné ?
La nature doit garder ses droits, nous ne sommes que de passage sur la Terre.
Quoi qu’on en dise il y a toujours du positif dans le négatif. La faune , elle, s’est sentie très bien, et aimerait bien que cela continue.
Il y aura toujours des insatisfaits qui font bien rire ceux qui sont satisfaits.
Bonne soirée Bernie
Tout ceci est très juste.
C’est superbe, et puis pour la nature ce sera que bien, mais trop court pour en profiter sur long terme
A nous de prolonger le long terme.
Now no one is going to the zoos.
They are struggling to survive.
That’s a pity.