Tokyo est l’épicentre du Japon et une ville aux multiples ressources. Elle abrite de grandes entreprises (japonaises et étrangères) et c’est également une ville peuplée d’étudiants de tous les pays, et de touristes passionnés par la culture japonaise.
Une immersion au cœur des coutumes de la capitale Japonaise
Tokyo ne dort jamais, comme beaucoup de grandes métropoles internationales, mais au cœur de toute cette agitation, on célèbre en novembre, des traditions d’un autre temps.
Tori-no-Ichi
Aussi appelé Otori-sama, cet événement est un marché qui a lieu dans les sanctuaires Otori-Jinja lors du jour du Coq » au mois de novembre.
C’est dans ces sanctuaires que réside la divinité protectrice de la chance et des affaires florissantes. De ce fait, beaucoup de fidèles viennent au sanctuaire le jour du coq et à l’occasion, des kiosques sont installés aux alentours.
Des kumades y sont vendus. Ce sont de petits râteaux faits de bambou qui permettent de « ratisser » la chance.
Le jour du coq revient tous les 12 jours puisqu’il fait partie des 12 signes du Zodiaque chinois. Ce qui signifie qu’en fonction des années il y a plusieurs Tori-no-chi en novembre.
Le temps des Chrysanthèmes
Au Japon, les expositions de Chrysanthèmes sont une tradition automnale. La plus impressionnante étant le grand rassemblement à Tokyo.
Initiée en 1915, cette exposition présente plus de 1300 variétés de fleurs, sous toutes les formes : chrysanthèmes en pots, Chrysanthèmes coupées, en cascades, en pompons, en dômes, …
Un spectacle magnifique que les touristes et les habitants de la métropole aiment admirer en novembre.
Cet événement permet de promouvoir le tourisme et l’économie locale grâce aux explications sur la culture de ses fleurs, ou les ventes de bouquets. Une jolie parenthèse fleurie au cœur d’une ville urbaine et bouillonnante !
Un pays que j’aimerai bien visiter, tant ils ont des coutumes ancestrale, bonne fin de soirée…
Voilà une destination qui me plairait de faire.
@mitié
J’adorerais y aller !
Et toi Bernie, es tu allé au Japon ?
Amitiés d’Isa Marie
Chez nous, c’est dans les cimetières qu’on les voit et c’est moins drôle !