Le mal des ardents

« Le mal des ardents » est un roman écrit par Frédéric Aribit et publié aux éditions Belfond. « Elle est violoncelliste, elle dessine, elle peint, fait de la photo. Elle s’appelle Lou… »

couverture mal des ardents frederic aribit editions belfond

Le mal des ardents

Quand le hasard d’un rencontre devient passion

C’est avec une plume élégante et un style narratif que l’auteur nous narre, sa rencontre, ou plus exactement l’apparition de Lou dans sa vie dans une station de métro.

Un amour qui débute dans une station de métro, se pourrait être une simple histoire d’avoir, ou mais, elle c’est Lou…

Impossible de résister à Lou, musicienne, elle aborde toute forme de création artistique avec passion et démesure.

Le narrateur tombe amoureux fou de Lou, un amour à toute vitesse, un amour dont les fondements sont la passion pour l’art et la musique, pour la création…

L’amour s’enflamme, et soudain tout bascule, Lou tombe dans le coma… Le narrateur va alors vouloir comprendre, apprendre et c’est par contagion de l’art qui viendront les réponses

L’auteur nous pousse jusqu’à la folie de la création, le besoin viscéral d’écrire un livre et de réaliser une œuvre d’art exclusive.

Quatrième de couverture

On ne rencontre par l’art personnifié tous les jours. Elle est violoncelliste, elle dessine, elle peint, fait de la photo. Elle s’appelle Lou. Lorsqu’il tombe sur elle, par hasard, à Paris, c’est sa vie entière de prof de lettres désenchanté qui bascule et, subjugué par ses errances, ses fulgurances, il se lance à la poursuite de l’impossible qu’elle incarne, comme une incandescence portée à ses limites.

Mais le merveilleux devient étrange, et l’étrange, inquiétant : Lou ne dort plus, se gratte beaucoup, semble prise de brusques accès de folie qui deviennent dangereux. Un dernier concert, la Pathétique de Tchaïkovski, et Lou est prise de convulsions terribles qui la conduisent à l’hôpital, où elle plonge dans un incompréhensible coma.
Le diagnostic, sidérant, mène à la boulangerie où elle achète son pain, infecté par l’ergot.

Quel est donc ce mystérieux « mal des ardents » qu’on croyait disparu ?

Quel est ce « feu sacré » qui consume l’être dans une urgence créatrice absolue ?

Il va l’apprendre par contagion.

Apprendre enfin, grâce à Lou, ce qu’est cette fièvre qui ne cesse de brûler, et qui s’appelle l’art.

Frédéric Aribit

Frédéric Aribit est né en 1972 à Bayonne. Titulaire d’un doctorat de lettres, il enseigne à Paris. Il a publié deux essais, André Breton, Georges Bataille. Le vif du sujet (L’Écarlate, 2012) et Comprendre Breton (Max Milo, 2015). Après Trois langues dans ma bouche (Belfond, 2015), Le mal des ardents est son deuxième roman.

Frédéric Aribit Copyright Melania Avanzato
Frédéric Aribit Copyright Melania Avanzato
maison éditions belfond

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Un commentaire

  1. Un amour aussi rapide et destructeur que la maladie du même nom… une maladie qui touchait les soi-disant es sorcières. Y aurait-il de la sorcellerie dans cette histoire d’amour là…

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