« Moi, j’ai le droit, mais je dois » est un album jeunesse écrit par Élisabeth Brami, illustré par Clémence Pénicaud et publié aux éditions Seuil Jeunesse. Un album plein d’humour pour rappeler à chacun ses droits mais aussi ses devoirs
Moi j’ai le droit, mais je dois
Apprendre le savoir vivre avec humour
Nous sommes les premiers à réclamer nos droits, mais parfois, souvent, nous oublions qu’un droit s’accompagne généralement d’un devoir.
Cet album qui s’adresse à un jeune public, dès l’âge de six ans, est un véritable manuel de savoir vivre plein d’humour qui parle aux enfants de leurs droits sans faire l’impasse sur leurs devoirs.
Au travers d’une liste de 20 règles à respecter au sein de la famille et de la société, le jeune lecteur va avoir les clés pour devenir un enfant élevé, un élève aimable, un citoyen responsable et qui sait peut-être un jour un parent éclairé.
Morceau choisi
« Moi, j’ai le droit de poser toutes les questions, même les plus embarrassantes ou bizarres aux adultes. MAIS je dois trouver le bon moment pour le faire et accepter que les adultes ne soient pas toujours capables d’y répondre.
Scoop : Les parents ont l’air d’être sourds quand on parle fabrication des bébés, divorce, mort, mais ils ont toujours l’oreille fine pour les gros mots ! »
Élisabeth Brami
Élisabeth Brami a publié plus de cent romans et albums pour enfants et adultes, dont de nombreux sont parus au Seuil. Psychologue clinicienne, elle est notamment l’auteur de Dolto, l’art d’être parents co-écrit avec Patrick Delaroche (Albin Michel). Parmi ses derniers ouvrages jeunesse, citons les « Déclarations » (des droits des garçons, des filles, des mamans et des papas) parus chez Talents Hauts.
Clémence Pénicaud
Clémence Pénicaud a suivi la formation d’illustration de l’école Estienne puis des Arts décoratifs de Strasbourg et a travaillé pour la presse et l’édition jeunesse (Bayard, Fleurus, Gallimard, Mango, Tourbillon, Didier jeunesse). Elle anime des ateliers d’arts plastiques pour les enfants et organise des rencontres et des ateliers pour les enfants en bibliothèque.
« Moi j’ai le droit de ne pas apprécier les méthodes éducatives qui me sont appliquées, mais je dois fermer ma gueule. » Le macronisme dans toute sa splendeur! « J’ai tous les droits mais au bout du compte je dois me rappeler ma position de gosse et rester à ma place. Tant pis si mes droits ne sont pas respectés car les adultes ont le droit de ne pas respecter mes droits ». La manipulation et le mensonge, mamelle de la pédagogie moderne! Sans même parler du vocabulaire pointu et des tournures passives lourdingues, ce bouquin est à éviter soigneusement.
Bonjour, tout d’abord merci pour votre commentaire. Avez-vous remarqué que cet article date de mars 2017 ? A cette date le président était François Hollande. Ensuite lire un livre et en comprendre le contenu n’a jamais voulu dire être d’accord avec les idées exprimées. Par exemple la version française de « Mein Kampf » a été diffusée au compte goutte à l’époque alors (ou peut être parce que) la volonté de l’éditeur était de faire connaître ce qu’Hitler avait en tête, car tout était écrit.
C’st une bonne chose de le rappeler, on entend trop souvent les droits et l’on oublie les devoirs.
@mitié
un livre particulièrement bienvenu en ce moment
Eh oui nos droits et nos devoir même enfant 😉