Novella Le Magicien

Une lecture proposée par les Editions  l’Ivre-Book qui va nous entrainer dans l’univers du fantastique à Londres au début du siècle dernier. Gaëlle Dupille nous emmène dans un univers dont elle a le secret.

Le Magicien Gaëlle Dupille

Le Magicien Gaëlle Dupille

Bernieshoot aime le Magicien.

Nous avions eu l’occasion de découvrir les Editions l’ivre-Book au traversd’un concours et d’une interview.

J’ai accepté avec plaisir de lire et de chroniquer le roman fantastique de Gaëlle Dupille une auteure que je découvre à cette occasion.

Cette lecture a été l’occasion pour moi de réutiliser ma liseuse Kindle qui neme quitte jamais en déplacement.

Comme j’ai déjà pu le dire je n’oppose pas livres papiers à livres numériques. Pour moi il y a une vraie complémentarité et ce sont les circonstances qui font que je lis un livre sous forme papier ou numérique (parfois les deux pour un même livre).

 

Mais revenons à ce roman. Le fantastique est un style particulier et je crois que ce roman en est une bonne approche pour celles et ceux qui n’ont jamais ouvert un roman de ce style.

 

J’ai apprécié la fluidité de l’histoire et le naturel s’impose au fur et à mesure des pages d’une telle manière que nous en oublierons presque les aspects fantastiques de l’histoire.

 

La sobriété de l’écriture et le style épuré de Gaëlle Dupille ont fait que cette lecture a été rapide parce que les scènes s’enchainent à un rythme qui donne totalement son sens à l’histoire.

 

C’est un livre qui doit même être une excellente lecture pour des adolescents, à partir de 15 ans. Vous pourrez emportez ce livre lors de vos vacances ou d’un déplacement à Londres et je suis certain que la magie s’opérera.

 

 

Génèse du Magicien

L’idée d’écrire un texte d’horreur centrée sur un magicien m’est apparue il y a quelques années, après un étrange cauchemar dans lequel un prestidigitateur en tenue de scène se regardait dans un miroir et l’un de ses yeux tombait soudain dans un lavabo.
J’ai mis cette image troublante de côté, ne sachant quoi en faire à l’époque et espérant qu’un jour, je pourrais l’utiliser.
Lorsque j’ai lu l’appel à texte des éditions L’Ivre-Book, je ne sais pour quelle raison, cette idée a resurgi instantanément et toute l’histoire s’est imposée naturellement à moi. Pourquoi un magicien ? Pourquoi un cabaret anglais des années 30 ou une acrobate bisexuelle fan de Louise Brooks associés au mythe du Cthulhu ?

Je n’en sais rien ! Je ne suis pas spécialement amateur de magie, ni même de Miss Brooks, le motif de leur présence dans mon histoire demeure donc un vrai mystère, y compris pour moi ! C’est presque comme si « on » m’avait soufflé mon intrigue, et lorsque je relis mon texte, je suis parfois surprise d’avoir eu telle ou telle idée.
J’étais si inspirée par le sujet que j’ai rédigé cette novella en moins de trois semaines, ce qui est assez rapide compte tenu des nombreuses recherches effectuées pour éviter les anachronismes. Ce n’est pas très modeste, mais je crois que Le magicien reste à ce jour ma novella dont je suis la plus fière.

Gaëlle Dupille

 

Quatrième de couverture

Éditions L’ivre-Book

ISBN : 978-2-36892-090-9

Illustration : Gwen Vibancos

 

Londres, 1933. Mortimer Sax n’a qu’un rêve : égaler le talent de son idole, le magicien Simon Balthazar, mystérieusement disparu 10 ans plus tôt.
Aussi, lorsque Mortimer décroche un emploi de prestidigitateur au cabaret le Craft, où le Grand Balthazar connut la gloire, il pense avoir atteint son ambition.

Sa rencontre avec Nina, la belle acrobate, une incroyable découverte dans l’un des murs de la chambre qu’il occupe au Craft et l’apparition régulière d’une effrayante créature dans ses rêves vont lentement changer sa vie.

Peu à peu, le magicien timide et complexé va prendre de l’assurance et connaître la gloire avant de sombrer peu à peu dans la folie.

 

 

Gaëlle Dupille

Après avoir découvert « Simetierre », de Stephen King, alors qu’elle avait 11 ans, Gaëlle Dupille décide de se mettre à l’écriture et de devenir un jour auteur.

Inspirée par des films comme Shining, Les Griffes de la nuit, Fog ou Alien, elle se découvrira un goût immodéré pour l’horreur, la science-fiction et le fantastique.

Parmi ses auteurs préférés se trouvent Stephen King, bien entendu, mais aussi Isaac Asimov, George Orwell, Lewis Caroll, E. A. Poe et H. P. Lovecraft.

Elle est la créatrice et la rédactrice en chef du webzine franco-québécois L’imaginarius, dédié aux littératures de l’imaginaire et par le biais duquel elle récapitule l’actualité des membres du collectif d’auteurs franco-québécois Les Fossoyeurs de Rêves, auquel elle appartient.

Ce webzine a également pour ambition de promouvoir de jeunes auteurs et illustrateurs, ainsi que de nouvelles maisons d’édition.

Elle vit entre la France et le Canada.

 

Votre Magicien

  • Aimez-vous les romans fantastiques ?
  • Aimez-vous la magie ?
  • Avez-vous une liseuse ?

 

 

vote hellocotonRendez-vous sur Hellocoton !

 

bernieshoot blogueur photographe chroniqueur

 

Gaëlle Dupille

Gaëlle Dupille

Spread the love
Bernie
Bernie

Moi, c'est Bernie. Incubateur d'actualités pour vous informer autrement.

Articles: 11676

28 commentaires

  1. J’ai une liseuse en dentelle, faite par ma grand-mère …
    Bonne fin de semaine, Bernie 😉
    ♥ Bisoux ♥

    Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

  2. Je n’ai pas de liseuse , je préfère le papier pour l’instant.
    J’aime quand les livres fantastiques sont bien conçus.
    Belle soirée Bernie

  3. Merci du partage !

    Aimez-vous les romans fantastiques ?

    J’adore ça, c’est qui a lancé ma passion pour la lecture mais ça fait longtemps que je n’en ai plus lu…

    Aimez-vous la magie ?
    J’adore 😀

    Avez-vous une liseuse ?
    Non je ne supporte pas ça ^^

  4. Merci du partage, je n’ai pas l’habitude de lire du fantastique mais ta présentation fait que tu m’as donnée envie de découvrir ce livre.
    Je suis adepte du livre papier pour l’objet, j’aime les livres, les toucher mais je m’interroge depuis quelque temps sur le fait d’acheter une liseuse ou non – les bibliothèques ne sont pas extensibles, en dehors des très beaux livres reliés que j’aimerai toujours, pourquoi pas une liseuse.
    Mais quel modèle, quelle marque ? à voir !
    Douce soirée,
    Lylou

  5. Oui, j’aime bien les romans fantastiques, j’en lis un en ce moment. J’aime bien la magie quand les tours sont à couper le souffle comme dans certain spectacle cabaret par exemple. Je n’ai pas de liseuse mais je songe à en acheter une en complément de mes livres.

  6. Je n’achète que peu de lecture, j’entends par là romans, je suis collectionneuse de BD humour… mais merci pour le Magicien… jill

  7. Pas de liseuse, je suis très livres-papier (même si le côté pratique au niveau du poids des bagages reste un argument irréfutable). Du coup j’utilise parfois la tablette comme moyen intermédiaire.
    J’ai du mal avec les livres « fantastiques-purs » je ne dis pas non à un zeste de fantastique mais j’avoue que ce n’est pas vraiment mon « truc ».
    Belle journée Bernie !

  8. Les livres fantastiques ne sont pas vraiment mon style de lecture. Mais j’aime la magie malgré tout 🙂
    Et je n’ai pas de liseuse, mais j’y pense sérieusement… Parce que quand je pars pour une certaine durée quelque part, c’est pas trop pratique de me balader avec plusieurs bouquins :/ Du coup, même si je préfère largement le toucher du papier, l’odeur du livre, c’est plus pratique pour voyager. Donc j’hésite, mais j’ai peur d’avoir vite mal à la tête en lisant sur un écran.. Tu ne rencontres pas de problèmes avec la tienne? Quels sont les inconvénients? Bonne fin d’après-midi, bien à toi 🙂

    • la lecture sur liseuse n’a rien à voir avec une lecture sur écran d’ordi. le seul inconvénient est de ne pas avoir le toucher du papier

  9. Il faut voir.
    S’emparer de Cthulhu n’est pas évident à mon sens, cela reste l’oeuvre de Lovecraft, dont je suis fan.
    alors un livre qui reprend un tel mythe devra être plus qu’a la hauteur.
    Mis je ne dis pas non

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *