Toulouse : l’application Too Good To Go lance son équipe locale

Application numéro un de lutte contre le gaspillage alimentaire en France, Too Good To Go souhaite offrir aux commerçants toulousains une alternative pour ne plus jeter leurs invendus. Opérationnelle à Toulouse depuis 2017, l’application y compte déjà 400 commerçants partenaires, mais souhaite aller plus loin en lançant son équipe locale.

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Too Good To Go l’application anti-gaspi débarque à Toulouse

10 millions de tonnes de nourriture sont jetées chaque année en France, c’est pour lutter contre cette aberration que l’application Too Good To Go a été créée en 2016.

Opérationnelle à Toulouse depuis janvier 2017, avec 400 commerçants partenaires, Too Good To Go souhaite aller plus loin dans la chasse au gaspillage alimentaire dans la région. Pour cela, l’application fait le pari de la proximité.

Julie Gagnaire sera donc responsable Too Good To Go pour la région toulousaine, avec pour objectif  d’aller directement à la rencontre des commerçants, afin d’être au plus près des réalités locales et lutter encore plus efficacement contre le gaspillage alimentaire. 

Pour rappel, à travers son application, Too Good To Go met en relation des commerçants de bouche ayant des invendus et des utilisateurs pouvant récupérer ces invendus en fin de journée à petit prix. Ces commerçants peuvent ainsi re-valoriser leurs pertes en revenus, tout en touchant une nouvelle clientèle, tandis que les utilisateurs évitent la poubelle à de bons produits qu’ils récupèrent à moindre coût. 

Sur l'agglomération toulousaine, Too Good To Go compte 400 commerçants partenaires et 65 000 utilisateurs, qui ensemble ont pu sauver 400 000 paniers.

Tous les commerçants proposant des produits alimentaires peuvent ainsi rejoindre l’application, qu’ils se situent en centre-ville de Toulouse ou qu’ils soient plus excentrés : des commerces de Muret à Montauban, en passant par Tournefeuille, ont déjà fait appel à cette solution pour re-valoriser leurs invendus. 

Laura Trova, Responsable Marketing du réseau de boutiques Arterris : “Nous produisons à la conserverie artisanale Larroque des spécialités locales (saucisse de Toulouse, foie gras du Sud-Ouest, magret de canard…). Ce sont des produits frais dont la durée de vie est par nature relativement courte.

Aussi, pour les journées où nos références de spécialités fraîches en magasins approchent de la date limite, mais restent consommables, nous avons choisi de faire appel à l’application Too Good To Go. Ceci  nous permet de faire découvrir nos produits de qualité à des personnes faisant leurs courses sur le fil ou ayant par exemple des petits moyens, et qui peuvent ainsi se permettre de se faire plaisir via l’application, tout en faisant un geste pour la planète en luttant contre le gaspillage alimentaire.

Citation de Sarah Chouraqui, directrice générale Too Good To Go : “Too Good To Go a à cœur de lutter contre le gaspillage alimentaire partout en France, grâce à nos 16 000 commerçants partenaires répartis sur tout le territoire.

Afin d’être au plus proche des commerçants, il est important de les accompagner dans leur démarche anti-gaspi en se rendant directement sur place. Je suis ravie de voir que la lutte contre le gaspillage alimentaire se renforce dans la région toulousaine.

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Bernie
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12 commentaires

  1. Salut, On n’a pas attendu les Verts pour s’occuper de notre environnement , cela fait longtemps que l’on recycle nos déchets chez les mineurs .

    Le temps est à la pluie mais heureusement on est au chaud.

    On espère une accalmie.

    Bonne journée

  2. pour lutter contre le gaspillage et les invendus commençons par mettre les produits moins chers….quand on voit qu’un avocat se vend 1.50€ maintenant, c’est un scandale total. Quand on voit que ce mememe avocat est à 70cts en Italie, c’est qu’il y a vraiment un problème en France…. Alors qui se fout des consommateurs. Le producteur ou le commerçant ?
    @+

    • Ce qui est important c’est d’acheter ce que l’on va vraiment manger. Concernant les prix, il faut garder à l’esprit que le consommateur a le pouvoir d’acheter ou pas, et qu’il ne doit pas être un mouton.

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