Avec son nouvel album Tatoo Toota, Marjolaine Karlin se balade dans des univers musicaux où planent le maloya, le blues, l’électricité urbaine de sa guitare, le bouillonnement d’un bazar tropical, le touche-à-tout d’un enfant curieux. Sur scène elle est entourée de Salvador Douezy à la batterie et aux percussions et de Marco Lacaille à la basse et aux chœurs.

Nouvel album Tatoo Toota, Marjolaine Karlin
Marjolaine Karlin, c’est une écriture qui balance entre tendresse et cruauté, grâce et crudité. Elle possède une voix diaphane dans les aigus et vaporeuse dans les graves. La chanteuse et musicienne délivre avec ce nouveau disque quelques extraits de ses carnets de voyage de ces dix dernières années où l'influence solaire des musiques de l'Océan Indien – notamment l'île de la Réunion – ravive et dépoussière le souvenir du Yiddishland de ses ancêtres.
Après ses collaborations avec Rosemary Standley du groupe Moriarty, Marjolaine Karlin se lance avec Tatoo Toota dans une véritable auberge créole, creuset de mondes et de diverses musiques où se mélangent le maloya et la musique yiddish, le folk délicat et la pop inventive. On peut savourer un premier extrait Tatoo.
Marjolaine KARLIN – Clip Tatoo
Des univers où planent le maloya, le blues, l’électricité urbaine de sa guitare, le bouillonnement d’un bazar tropical, le touche-à-tout d’un enfant curieux
Marjolaine Karlin promène ses expériences musicales sur les routes depuis une vingtaine d’années, dans des petits lieux, des grands, sur un camion-scène, dans la rue ou sous chapiteau.
Elle se balade dans des univers où planent le maloya, le blues, l’électricité urbaine de sa guitare, le bouillonnement d’un bazar tropical, le touche-à-tout d’un enfant curieux. Son nouvel album Tatoo Toota est le carnet sonore et poétique d'un voyage musical initiatique, en français, en anglais et en yiddish.
En 2008, alors qu'elle est frappée par le décès d'un ami proche, Marjolaine Karlin découvre le maloya, musique de transe dont l'une des raisons d'être est de remettre en lien les morts et les vivants. Direction l'île de la Réunion, pour tenter de « retrouver ses Esprits » au propre comme au figuré.
A son retour elle co-fonde le groupe Wati Watia Zorèy Band (sélection FIP en 2016) avec plusieurs membres de Moriarty. Parallèlement, pendant dix ans elle « amasse » petit à petit les matériaux, idées, rythmes et sonorités qui constituent cet album foisonnant, à la fois profond et fantasque, sous l'influence totalement solaire de l'Océan Indien.

Avec Tatoo Toota, Marjolaine Karlin se balade dans des univers musicaux où planent le maloya, le blues, l’électricité urbaine de sa guitare, le bouillonnement d’un bazar tropical, le touche-à-tout d’un enfant curieux. Entre noirceur et bonheur, mysticisme et scepticisme, ses chansons mettent à l’honneur quelque chose de profond et joyeux, d’enraciné et d’éternel.
Bonjour Bernie
J’aime beaucoup son univers.
@mitié
Moi aussi, je peux même dire que je l’adore.
disons que c’ est original et pas désagréable à entendre
Moi j’ai bien aimé
je n’ai pu écouter jusqu’au bout, c’est spécial, mais ce n’est peut-être pas ma génération….à réentendre certainement dans la journée, passe un beau début de semaine
je pense qu’il y a eu un bug, mais maintenant ça fonctionne.