METROPOLITAN FILMEXPORT présente un film de Lucy Walker « BUENA VISTA SOCIAL CLUB : ADIOS », un incroyable hommage à la musique cubaine. Sortie nationale : 26 juillet 2017
BUENA VISTA SOCIAL CLUB : ADIOS
Un hommage à l’essence de Cuba
En musique, l’improvisation est source de magie, et comme elle est au coeur de la musique cubaine, il n’est pas étonnant que la spontanéité soit à l’origine de la formidable histoire du Buena Vista Social Club.
Tout a commencé en 1996, lorsque le producteur de disques Nick Gold, le producteur et guitariste Ry Cooder et le leader du groupe Juan De Marcos González se retrouvèrent à La Havane pour enregistrer un album aux sonorités à la fois cubaines et africaines. Le projet n’aboutit pas parce que les musiciens africains ne purent être présents, mais une nouvelle idée vit le jour : recréer les mélodies cubaines traditionnelles du son (base de la salsa) des années 1930, 1940 et 1950 avec leurs interprètes originaux.
Un groupe de maestros du genre fut spécialement réuni. La plupart d’entre eux étaient alors à la retraite, à l’image d’Ibrahim Ferrer qui avait abandonné sa carrière de chanteur et cirait des chaussures pour joindre les deux bouts, ou du célèbre pianiste Rubén González qui n’avait plus joué depuis que des termites s’étaient attaqués à son instrument plusieurs années auparavant. Une par une, d’autres incroyables légendes de la musique cubaine rejoignirent la formation : Eliades Ochoa, Omara Portuondo, Barbarito Torres, Guajiro Mirabal, Compay Segundo, Manuel Galbán, Cachaíto López… Le Buena Vista Social Club était né, et la magie créée lors de ces sessions improvisées, grâce aux chansons évocatrices et émouvantes d’une époque oubliée, a fait sensation dans le monde entier.
La productrice Christine Cowin déclare : « Cet album a changé la vie de nombre de ces musiciens. J’adore le caractère improvisé des premières sessions d’enregistrement et la facilité avec laquelle cela s’est fait. C’était le signe qu’ils étaient tous au sommet de leur art et que ce projet était une évidence. »
Mais BUENA VISTA SOCIAL CLUB : ADIOS révèle que ce projet, aussi déterminant soit-il, n’a été que l’un des nombreux moments clés qui ont façonné les longues et prolifiques carrières de ces artistes. Le producteur Zak Kilberg explique : « La musique et la culture cubaines sont indissociables, si bien qu’à travers leur musique, ces artistes partagent également leur incroyable histoire. On découvre ainsi un siècle de l’histoire de Cuba telle qu’ils l’ont vécue. »
Les racines musicales de la plupart des membres du groupe remontent à l’enfance. Né en 1907, Compay Segundo a travaillé dans une fabrique de cigares pour financer son voyage pour La Havane, où il a créé le légendaire duo de son Los Compadres. Enfant, la légende de la guajira Eliades Ochoa gagnait sa vie en jouant de la guitare dans les maisons closes autour de Santiago. Omara Portuondo a quant à elle appris le boléro classique « Veinte Años » à quatre ans, sur les genoux de son père.
À travers les diverses influences réunies dans l’album, le groupe évoque le riche passé de l’île, des mélodies aux sonorités africaines et espagnoles aux rythmes des jazz-clubs de La Havane, en passant par les paroles improvisées des sessions de descarga. Leurs reprises de ces classiques sont devenues emblématiques et ont provoqué un regain d’intérêt pour la culture cubaine. Zak Kilberg déclare : « Les membres du Buena Vista Social Club sont à bien des égards les gardiens de la musique cubaine traditionnelle, car ils maintiennent non seulement en vie ce style de musique mais le font en plus connaître à l’international. »
Le film revient sur le succès inattendu de l’album de 1997, sa victoire aux Grammy Awards, et les tournées solos et collectives qui ont suivi, au cours desquelles le public est tombé sous le charme du Buena Vista Social Club – de leur musique enivrante mais aussi de leurs personnalités exubérantes. Christine Cowin confie : « En apprenant à connaître ces individus et leurs histoires, j’ai été frappée par le sens de l’humour, la sagesse et la dignité dont ils ont fait preuve au fil de leurs longues carrières, mais aussi par le fait que l’âge n’a rien enlevé à leur passion pour la musique. »
Zak Kilberg ajoute : « Certains de ces musiciens ont vécu 60, 70 ou 80 ans – 90 dans le cas de Compay Segundo – avant de connaître le succès international que leur a apporté le Buena Vista Social Club. Leur histoire recèle un optimisme rare et incroyable. »
Cet optimisme s’est matérialisé lors de l’ultime tournée internationale de l’Orquesta Buena Vista Social Club, avec des spectacles ayant fait salle comble et un concert spécial donné à la Maison Blanche à l’occasion duquel le Président Obama a déclaré : « Depuis près de vingt ans, ce groupe est le symbole des liens solides qui unissent le peuple américain au peuple cubain ; des liens d’amitié, culturels et bien entendu musicaux. »
À travers cette représentation et les portraits révélateurs de ces artistes, le film illustre l’extraordinaire capacité de la musique à transcender le temps, le langage et les frontières.
Un Adios doux-amer
Près de vingt ans après leurs premières sessions d’enregistrement communes, les membres originaux et les nouvelles recrues de l’Orquesta Buena Vista Social Club ont fait leurs adieux à la scène lors d’une ultime tournée qui les a menés aux quatre coins du monde.
L’« Adios Tour » leur a permis d’interpréter les titres intemporels du premier album ainsi que des morceaux inédits de leurs albums solos respectifs. Leurs carrières sont cependant loin d’être terminées. Le guitariste et chanteur Eliades Ochoa confie : « La musique coule dans mes veines, le Buena Vista Social Club et la musique font partie intégrante de la vie elle-même. Le groupe ne remontera pas sur scène mais il y aura toujours des stars du Club qui se produiront quelque part dans le monde. » La chanteuse Omara Portuondo, qui ne vit que pour la musique depuis quatre-vingts ans, ajoute : « La musique fait partie de la nature, tout comme l’océan, l’air, les nuages et la pluie. Rien ne pourra jamais changer cela. Le groupe se sépare mais nous allons tous continuer à travailler et à faire de la musique ensemble. »
Pour clore ce chapitre majeur, Montuno, la société de management du groupe, a développé l’idée de BUENA VISTA SOCIAL CLUB : ADIOS qu’elle a proposée à Blink TV. Ce nouveau documentaire était l’occasion rêvée de revenir sur la carrière des musiciens et sur la manière dont leur incroyable popularité depuis 1997 les a façonnés. Tout comme les mélodies du Buena Vista Social Club, le film est une formidable capsule temporelle. Christine Cowin commente : « Les musiciens eux-mêmes ont exprimé le désir que ce film vienne clore leur héritage. Nous sommes ravis de pouvoir faire découvrir leur musique à une nouvelle génération et de voir la réaction des jeunes face à leur incroyable histoire. »
Les artistes partagent cet enthousiasme. Juan De Marcos González, le leader du groupe, déclare : « Je suis fier de ce que nous avons fait pour la culture cubaine : donner la possibilité à notre peuple d’être reconnu dans le monde entier. Je suis également très heureux que nous ayons influencé la jeune génération de musiciens cubains qui rendent désormais hommage à leurs origines dans leurs morceaux hip hop ou jazz – la musique cubaine est un joyeux mélange ! »
Capturer le rythme cubain
Le tournage du documentaire a débuté en 2015, alors que le paysage culturel cubain était en pleine transformation. Grâce à l’allègement des restrictions de voyage des États-Unis, Cuba est désormais plus accessible aux équipes de cinéma américaines et internationales. Les cinéastes ont saisi cette opportunité pour présenter l’île et sa musique sous un nouveau jour. Zak Kilberg explique : « Notre objectif était d’accompagner autant que possible les musiciens et de les filmer dans leur élément, sur scène et bien entendu chez eux à Cuba. » Pour cela, une petite équipe s’est régulièrement rendue dans le pays durant dix-huit mois. Et les efforts déployés ont été payants, comme l’explique le producteur : « Nous avons réussi à saisir des sessions intimes avec Omara et Eliades à Santiago. Et puis filmer le dernier concert de l’Orquesta Buena Vista Social Club au Teatro Karl Marx de La Havane a été une expérience incroyable. »
Le film repose également en grande partie sur les recherches menées par l’équipe sur l’évolution de la vie des musiciens au cours de l’histoire de Cuba. Zak Kilberg déclare : « Personne n’avait encore entrepris de raconter leurs carrières avant et après le Buena Vista Social Club, et cela a nécessité beaucoup de travail. Nous avons non seulement reçu des tonnes d’archives de leur société de management, Montuno, mais également de chacun des membres du groupe et de leurs familles, ainsi que d’innombrables publications. Nous avons même engagé un archiviste cubain qui a passé en revue tous les médias gouvernementaux afin d’identifier les passages les plus intéressants. Ça n’a pas été facile, il nous a fallu beaucoup de détermination et de patience pour en venir à bout, mais les pépites que nous avons mises au jour en valaient la peine. »
Dans les trouvailles de l’équipe figurent 50 heures d’images inédites du documentaire original de 1997 réalisé par Wim Wenders dans lesquelles on voit le groupe répéter avant son premier concert live à Amsterdam. Ces scènes montrent avec beaucoup de sincérité les musiciens tenter de reproduire la magie de leurs premières sessions en studio… et les conflits de style et de personnalité inhérents à la situation.
Les images d’archives montrent également que les carrières des différents artistes du groupe s’étaient déjà croisées. On assiste ainsi aux débuts de l’amitié qui unit depuis cinquante ans Omara Portuondo et Ibrahim Ferrer dans une émission des années 1960 où ils chantent en duo. Une captation de concert montre quant à elle Compay Segundo aux côtés d’Eliades Ochoa reprenant « Chan Chan », l’une des chansons les plus populaires de l’album de 1997.
En exhumant ces archives et en figurant parmi les premiers à pouvoir filmer à Cuba, l’équipe a eu quelques surprises… mais comme l’avait fait le Buena Vista Social Club lors de ces premières sessions d’enregistrement improvisées il y a bien longtemps, les producteurs étaient prêts à sauter dans l’inconnu pour raconter cette remarquable histoire.
Devant la caméra Les membres originaux du Buena Vista Social Club
Omara Portuondo (Chanteuse)
Omara Portuondo a débuté comme danseuse aux côtés de sa soeur, Haydee, au célèbre cabaret Tropicana. Les deux jeunes filles chantaient également ensemble au sein d’un groupe baptisé Los Loquibambla, un combo spécialisé dans une version cubaine de la bossa nova aux accents de jazz américain.
Omara et Haydee ont formé avec Elena Burke et Moraima Secada le Cuarteto Las d’Aida sous la direction du pianiste Aida Diestro. La chanteuse s’est produite avec le groupe durant quinze ans avant d’enregistrer son premier album solo, « Magia Negra », en 1959. Elle est restée membre du quartet durant plusieurs années avant de lancer sa carrière solo en 1967.
Omara Portuondo a également chanté pour l’influent Orquesta Aragón de Cuba, avec lequel elle a enregistré plusieurs albums et s’est produite dans le monde entier dans les années 1970 et 1980.
Portée par son succès avec le Buena Vista Social Club, Omara Portuondo a entamé le 21e siècle en star internationale et s’est produite lors de tournées et de festivals aux quatre coins du monde. Depuis, elle a entre autres enregistré deux albums pour World Circuit Records : « Buena Vista Social Club Presents Omara Portuondo » (2000) et « Flor de Amor » (2004).
Omara Portuondo a reçu de nombreuses récompenses et distinctions. Elle a été saluée par un Latin Grammy Award pour son album solo intitulé « Gracias ». Au printemps 2011, elle a sorti un nouvel album avec le pianiste Chucho Valdés, « Omara & Chucho », acclamé par la critique.
En 2015, la chanteuse a débuté une tournée internationale spéciale intitulée « 85 Tour » où elle était accompagnée sur scène par des invités d’exception tels que le chanteur espagnol Diego el Cigala, Regina Carter, Anat Cohen ou encore Roberto Fonseca. La diva cubaine et ambassadrice pour les arts de son pays a célébré son 70e anniversaire sur scène avec une grande fiesta à l’image de son impressionnante carrière.
Manuel « Guajiro » Mirabal (Trompettiste)
Guajiro Mirabal est une figure incontournable de la scène musicale cubaine depuis plus de cinquante ans. Il a joué aux côtés de toutes les plus grandes stars cubaines en tant que trompettiste de l’Orquesta Riverside, l’Orquesta Cubana de Música Moderna et musicien du cabaret Tropicana. Avec ces formations, mais aussi l’Estrellas Areito et l’Opus 13, Guajiro Mirabal a fait de nombreuses tournées en Europe et en Amérique latine.
Durant la désormais légendaire session d’enregistrement de World Circuit Records à La Havane en 1996, il a pris part aux trois albums phares de la maison de disques : « Afro-Cuban All Stars A Toda Cuba Le Gusta », « Buena Vista Social Club »
et « Introducing Rubén González ». Après avoir joué un rôle majeur dans de nombreux albums de la collection Buena Vista et été un membre clé du groupe de tournée d’Ibrahim Ferrer, Guajiro Mirabal a sorti son premier album solo en 2004, « Buena Vista Social Club Presents Manuel Guajiro Mirabal », nommé aux Latin Grammy Awards.
Barbarito Torres (Joueur de laùd)
Barbarito Torres a débuté sa carrière professionnelle en 1970 avec Serenata Yumunina, un groupe dirigé par Higinio Mullens. Trois ans plus tard, il l’a quitté pour rejoindre Siembra Cultural, plus tard rebaptisé Grupo Yarabi, avec lequel il s’est produit aux quatre coins de Cuba. Il s’est ensuite installé à La Havane et a intégré l’Orquesta Cubana de Cuerdas en tant que membre permanent. Plus tard, il a rejoint Celina Gonzalez et son Grupo Campoalegre en tant que directeur musical, et a intégré le Grupo Manguare.
Barbarito Torres est surtout connu pour ses contributions aux projets Afro-Cuban All Stars et Buena Vista Social Club. Ces deux formations ont remporté de nombreuses récompenses, dont un Grammy Award pour l’album « Buena Vista Social Club » en 1998. Depuis, le joueur de laùd (luth espagnol) a continué sa carrière solo en se produisant dans le monde entier avec son groupe. Son premier album solo, « Havana Café » est sorti en 1999, suivi de « Barbarito Torres » en 2003.
Eliades Ochoa (Guitariste et chanteur)
Originaire de la campagne cubaine près de Santiago, Eliades Ochoa est un artiste de guajira (musique country cubaine). Son chapeau de cowboy et ses tenues noires lui ont d’ailleurs valu le surnom du « Johnny Cash de Cuba ». Lors des sessions du Buena Vista Social Club, il a notamment été guitariste et interprète de « El Cuarto de Tula ». Il a également laissé s’exprimer ses racines guajira dans « El Carretero ».
En dehors du projet Buena Vista, Eliades Ochoa a enregistré l’album « CubAfrica » avec Manu Dibango en 1998, puis « Sublime Ilusión » (Virgin Spain/Yerba Buena) en 1999 avec le producteur John Wooler, et la participation spéciale de Charlie Musselwhite, David Hidalgo du groupe Los Lobos et Ry Cooder. « Sublime Ilusión » a été nommé au Grammy Award du meilleur album tropical traditionnel.
En octobre 2010, l’album « AfroCubism », sur lequel Eliades Ochoa et le Grupo Patria jouent ensemble avec des musiciens maliens tels que Toumani Diabate (à la kora), Bassekou Kouyate (au n’goni), Kasse Mady Diabate (au chant) et Djelimady Tounkara (à la guitare électrique), est sorti chez World Circuit Records. La tournée « AfroCubism » a débuté à l’automne 2010 pour s’achever durant l’été 2011 et a mené la formation en Europe, au Canada et aux États-Unis. L’album a été cité au Grammy Award 2012 du meilleur album de musique du monde.
Le sonero prépare actuellement un nouvel album, enregistré entre Santiago de Cuba et La Havane.
Ibrahim Ferrer (Chanteur)
Né dans un club de danse social, Ibrahim Ferrer a toujours su qu’il était destiné à devenir chanteur. Pourtant, bien qu’il ait été le chanteur principal du groupe de Pacho Alonso dans les années 1950, qu’il ait chanté pour le légendaire Beny Moré et ait été le chanteur principal de Los Bocucos, pendant une bonne partie de sa vie sa carrière a été source de déception pour lui. En 1996, il avait quitté la scène et cirait des chaussures pour augmenter sa petite retraite.
Invité à rejoindre le Buena Vista Social Club par Juan de Marcos González, alors en quête d’un chanteur de boléro, Ibrahim Ferrer s’est rapidement imposé comme une figure incontournable du projet. Il est alors parti en tournée avec son propre groupe et celui de Rubén González. Son premier album solo, « Buena Vista Social Club Presents: Ibrahim Ferrer » est sorti en 1999. Il a été suivi en 2003 par « Buenos Hermanos » (produit, comme le précédent, par Ry Cooder) qui lui a valu un Grammy Award (mais il s’est vu refuser l’entrée aux États-Unis pour le recevoir en mains propres).
Il est décédé en 2005 juste après avoir achevé une tournée européenne. Son dernier album, « Mi Sueño », est sorti à titre posthume l’année suivante.
Orlando « Cachaíto » López (Bassiste)
Force motrice du Buena Vista Social Club avec sa basse fluide et virtuose, Orlando « Cachaíto » López est né dans une famille d’influents bassistes cubains : son oncle, Israel (surnommé Cachao), et son père, Orestes (alias Macho), ont inventé le mambo alors qu’ils étaient membres du groupe d’Antonio Arcaño dans les années 1940. Cachao a également joué un rôle crucial dans le développement du jazz d’improvisation afro-cubain baptisé descarga dont Cachaíto était un des maîtres.
Musicien incroyablement polyvalent, Cachaíto López s’est illustré dans le domaine de la musique classique avec l’Orchestre symphonique national de Cuba, du jazz et de la pop cubaine avec Irakeke, du doo-wop avec Los Zafiros, et du descarga avec Los Amigos.
Il a pris part à 13 des 14 titres de l’album studio original du Buena Vista Social Club, et depuis, il a participé à presque toutes les tournées et aux enregistrements de la formation. « Cachaíto » (2001), son album expérimental pour World Circuit Records, est considéré par nombre de critiques comme l’un des meilleurs de la série Buena Vista. Le musicien s’est produit dans les groupes d’Ibrahim Ferrer et Rubén González, et a rejoint les rangs de l’Orquesta Buena Vista Social Club au cours de ses dernières années.
Cachaíto López est décédé à la Havane en 2009 à l’âge de 76 ans.
Synopsis :
Les musiciens du Buena Vista Social Club ont fait découvrir au monde entier la vitalité de la culture cubaine grâce à leur emblématique album de 1997 sorti chez World Circuit Records, et à travers le documentaire de Wim Wenders nommé à l’Oscar BUENA VISTA SOCIAL CLUB.
BUENA VISTA SOCIAL CLUB : ADIOS retrace aujourd’hui le parcours du groupe dans la captivante histoire musicale de Cuba, tandis que ses membres reviennent sur leurs remarquables carrières et les extraordinaires circonstances qui les ont réunis.
Découvrez la bande-annonce du film
BUENA VISTA SOCIAL CLUB : ADIOS – Bande-annoonce
Bonjour,
J’irai le voir, c’est une période musicale inoubliable.
Bonne journée
@mitié