Sauvegardons les abeilles pour l’avenir de nos enfants

Accompagnons l’Observatoire Français d’Apidologie, association loi 1901 à but non lucratif, déclarée d’intérêt général, dans ses programmes de recherches appliquées pour sauvegarder les abeilles, indispensables à la pollinisation. La sécurité alimentaire définitivement impactée par le déficit d’insectes pollinisateurs au premier rang desquels, les abeilles. IPBES Kuala Lumpur – 26 février 2016

Observatoire Français d’Apidologie

Sauvegardons les abeilles pour l’avenir de nos enfants

Danger et de l’urgence de la situation

Nombreuses ont été les alertes : en 2016, la terre compte 7 milliards et demi d’individus, et 1 milliard et demi souffre déjà de carences alimentaires. Que ferons-nous lorsque nous serons 9 milliards en 2050 ?

2050 c’est déjà demain…

Par leur rôle de principal insecte polinisateur les abeilles sont responsables d’un tiers de la production de notre alimentation. Mais partout leurs colonies s’effondrent : les abeilles sont en train de disparaître. Tout l’écosystème est lié, Il ne s’agit pas seulement d’abeilles. Il s’agit de l’avenir de la planète et de l’humanité.

Observatoire Français d’Apidologie (OFA)

Conscient du danger et de l’urgence de la situation, l’Observatoire Français d’Apidologie (OFA), a été créé en 2014 afin de mener des actions concrètes en réponse à ce problème majeur.

L’apidologie se définit comme l’étude du comportement des abeilles, des pathologies apicoles et des techniques d’élevage d’essaims et de reines.

Trois mesures d’urgence

C’est à Bruxelles d’abord que l’OFA s’est adressée afin d’agir sur le terrain politique. Il a proposé au Parlement Européen 3 mesures d’urgence:

  • la mise en place d’un programme de régénérescence et de repeuplement du cheptel apicole européen
  • la création d’une formation professionnelle au métier d’apiculteur.
  • la constitution d’un programme de recherche sur la résistance au Varroa

Ces mesures, l’OFA les met déjà en application dans un espace préservé du sud-est de la France, la chaine de la Sainte Baume.

La mission inédite de l’OFA 

Au sein de son laboratoire, inauguré en 2015, dans le sud est de la France,  l’OFA forme les apiculteurs de demain aux meilleures techniques de sélection et d’élevage et mène des travaux de recherche appliquée en collaboration avec les meilleures universités internationales. 

1) Formation

A ce jour, aucune formation longue en apidologie n’existe en Europe, c‘est pourquoi, l’OFA forme aujourd’hui les apiculteurs à ces techniques pointues en délivrant un diplôme en partenariat avec le Centre de Formation Professionnelle et de Promotion Agricole (CFPPA) de Hyères.

2) Recherche appliquée

Les équipes de l’OFA analysent la génétique de l’abeille et étudient le brassage de leurs colonies génération après génération.

  • Elles pratiquent l’insémination instrumentale pour sélectionner les espèces, afin de :
    • créer des souches résistantes aux diverses pathologies, dont le varroa.
    • reproduire des abeilles plus douces afin de faciliter le travail sur les ruchers.
    • créer des souches performantes afin d’assurer une meilleure productivité de miel à la ruche
  • Elles étudient la qualité reproductrice des mâles grâce à un procédé exclusif dénombrant les spermatozoïdes actifs.
  • Elles procèdent à la reproduction des caractéristiques des reines sélectionnées afin de régénérer le cheptel défaillant.

A quoi servira votre don ?

En décidant de vous impliquer aux côtés de l’Observatoire Français d’Apidologie, en faisant un don, vous permettrez à l’Observatoire Français d’Apidologie d’amplifier ses actions de recherche appliquée qu’il mène en faveur de la sauvegarde des abeilles. 

avec 20.000€

Nous ferons l’acquisition d’équipements scientifiques pour le laboratoire de recherche appliquée spécialisé sur l’étude du comportement des abeilles, ce qui permettra de réaliser une analyse complète de la génétique de son cheptel constitué de 800 colonies. (Matériel à acquérir : thermocycleur, électrophorèse capillaire, hotte chimique)

avec 30.000€

Soit 10.000€ supplémentaires, l’OFA pourra développer son programme d’analyses des problèmes de fertilité des reines et de défaillance de la production et de la qualité du sperme des faux-bourdons. (Caméra rapide couleur adaptable microscope, spectrophotomètre à lecture de plaque) 

Pierre Rabhi, initiateur du mouvement Colibris

Participez à la manière de la légende amérindienne du colibri racontée par Pierre Rabhi, initiateur du mouvement Colibris :

« Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »

Et le colibri lui répondit :« Je le sais, mais je fais ma part. »

 Pour l’avenir de nos enfants et celui de l’avenir de la planète que nous leur transmettrons, participez activement aux côtés de l’OFA à la sauvegarde les abeilles.
Tous ensemble et si chacun fait sa part, nous apporterons les solutions nécessaires pour sécuriser l’avenir des générations futures.

Défiscalisation du don

L’OFA étant une association déclarée d’intérêt général, votre don vous donne droit à un crédit d’impôt d’un montant égal à 66% de la somme versée. Un récépissé fiscal sera donc adressé pour chaque don. Ainsi un don de 30 € ne vous coûtera au final que 10,20€, après défiscalisation.

En savoir plus

A propos de L’OFA

L’OFA c’est 10 personnes aux services des abeilles : Gilles, Hervé, Joris, Marine, Paul, Thierry, Thomas, Stéphane, Soizic, Vivien.

Tous ensemble et si chacun fait sa part, nous apporterons les solutions nécessaires pour sécuriser l’avenir des générations futures.

Participez à cette campagne de financement participatif

 

Source : Blue Bees

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9 commentaires

  1. Salut,
    Un grand spécialiste avait dit  » lorsqu’il n’y aura plus d’abeilles la race humaine disparaitra ».
    Je pense même qu’on disparaitra avant les abeilles!
    Bonne journée

  2. Tant qu’on continuera avec les insecticides et les engrais, j’ai bien peur que la situation n’aille pas en s’arrangeant…

  3. C’est intéressant leur travail. Mais… quand on sait que les abeilles meurent notamment à cause des pesticides et de la pollution, que font-ils de ce côté ? Quelque part, ça me « gêne » un peu de les voir travailler sur de la sélection génétique quand on sait les dégâts que ça a fait sur d’autres animaux. Ça sonne un peu comme faire l’apprenti sorcier. Ces abeilles sélectionnées, qui dit que ça ne va pas, à terme, appauvrir l’espèce ? Il y a je ne sais plus quelle race de chien qu’il faut désormais éviter d’acheter parce qu’à force de sélectionner les animaux reproducteurs pour avoir une certaine esthétique, ils deviennent encore plus fragiles, développent des pathologies auxquelles ils échappaient auparavant, etc. Et puis quelque part, ça sonne aussi come une déresposabilisation de nos actions et de leurs conséquences sur la planète : pourquoi Monsato et Bayer cèderaient-ils si à côté on créée des « super-abeilles » ?
    Autant je suis ok pour travailler à faire la maximum pour sauver les abeilles, autant là, j’ai un peu de al à être totalement convaincue…

  4. mon petit neveu de 21 ans est apiculteur….il voit bien au jour le jour, qu’elles sont moins nombreuses, elle produisent aussi beaucoup moins de miel, et attrapent pas mal de maladies..c’est triste

  5. j’espère que les hommes ont pris conscience que leur avenir dépend de celui des abeilles…☆☆ Bonne fin de dimanche ☆☆

  6. Je ne voudrais pas être pessimiste (ce n’est pas ma nature) mais n’est-il pas déjà trop tard.
    Bonne journée
    @mitié

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