La Noyade du Phénix est un thriller gothique mené tambour battant, qui explore la puissance du lien familial dans une contrée sauvage dominée par les clans, le sens de l’honneur, la superstition et le goût du risque.
La Noyade du Phénix
L’histoire
1911. Une nuit de tempête, une contrée sauvage au nord du monde. Une jeune fille répondant au nom de Máiréad fuit une horde de villageois rendus fous par la superstition. Quand vient la fin de la nuit, Máiréad disparait à jamais, emportant avec elle son lot de malheurs et d’infâmes secrets.
2012. Sacha Andrews, nègre littéraire flanquée d’une personnalité lunatique et mesquine, est en quête d’un roman à écrire qui la sortira enfin de l’anonymat et fera d’elle une romancière respectée. Aussi, quand son grand-père lui révèle avoir été adopté dans des circonstances nébuleuses plus de cent ans auparavant, Sacha voit là une opportunité de servir ses propres intérêts. Elle se lance alors sur les traces d’une lointaine famille écossaise au destin déchirant : la sienne.
Thriller gothique mené tambour battant, La Noyade du Phénix explore la puissance du lien familial dans une contrée sauvage dominée par les clans, le sens de l’honneur, la superstition et le goût du risque.
Sacha parviendra-t-elle à y préserver son peu d’équilibre mental ?
Présentation
A l’origine de La Noyade du Phénix, il y a toute une série de fables, de racontars et de vérités entendus sur la famille de mon grand-père, quand j’étais enfant. Une fratrie de sept frères et sœurs, dont l’existence fut frappée de tragédies et de grands malheurs. Plusieurs développèrent la maladie de Charcot, et deux en moururent. Un autre, après une vie d’errance, mourut seul dans la misère, victime d’un incendie. Un autre encore dut subir une amputation à la suite d’une phlébite. Mon grand-père lui-même périt dans un accident de la route dans les années soixante. La génération suivante, celle de mon père, fut également frappée par le sort. Suicide, accident de parachute…
Écoutant mon père évoquer ses oncles, tantes et cousins trop tôt disparus, je me demandai sans cesse : pourquoi ? Pourquoi l’infortune s’était-elle acharnée de la sorte sur cette famille sans histoires ?
Sans histoires ? Allons. Mon arrière-grand-mère (la mère des sept frères et sœurs) était la fille d’une domestique qui servait dans une bonne famille. Ce qu’il s’est passé exactement, on l’ignore. Mon père a toujours supposé que le fils des maîtres avait abusé de la servante et l’avait mise à la porte sans autre forme de procès. Cette femme resta fille-mère et ne révéla jamais l’identité de cet homme. Mon arrière-grand-père, quant à lui, avait coupé les ponts avec sa propre famille et mourut sans les avoir revu ni s’être justifié de son silence. Personne ne sut jamais d’où il venait, ni ce qu’il s’était passé qui expliquât son comportement.
Deux âmes qui se trouvèrent ainsi, sans racines, et décidèrent de faire grandir un arbre…
De bien tristes histoires, certes, mais un terreau fertile pour une écrivaine fascinée par les fresques familiales. Je décidais donc d’écrire une histoire de cette trempe, une saga à haute teneur dramatique, qui ne serait pas pour autant celle de la famille de mon grand-père. Ces récits entendus enfant resteraient une source d’inspiration, mais je ne sais pas s’il m’appartient véritablement de les raconter pour ce qu’ils sont. La Noyade du Phénix est donc bel et bien une pure fiction.
Ainsi, quoi de plus naturel de situer mon intrigue en Ecosse, où l’esprit clanique a régné pendant des siècles et règne encore ? Les Highlands, contrée sauvage et énigmatique, seraient le théâtre idéal. Quant à ma mystérieuse et maudite fratrie, son histoire se déroulerait au début du XXe siècle et aurait été oubliée.
Un oubli que se chargerait de réparer Sacha Andrews, le personnage principal de ce roman. Sacha, sans fratrie et sans famille, flanquée d’une personnalité lunatique et mesquine, est un nègre littéraire en quête d’une histoire à raconter, d’un roman à écrire qui la sortira enfin de l’anonymat. Un roman à écrire, pour exister enfin.
Audrey Brière
Je remercie Audrey Brière pour cette belle présentation d’un livre, qui est désormais dans ma PAL. Si vous êtes tenté par la lecture du thriller Gothique « La Noyade du Phénix », vous pouvez vous le procurez ici.
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Je ne suis pas liseuse … ce thriller a l’air bien sympa !
oui il est dans ma pal 🙂
Bonjour Bernie,
Je vois sur ta photographie que tu as une liseuse avec un écran couleur, non ? Etait-elle agréable pour la lecture ? Est-ce qu’elle est semblable aux autres tablettes couleurs ou a-t-elle été étudié pour la lecture ?
Moi je disposais d’une liseuse en noir et blanc, uniquement faite pour la lecture et j’en étais très contente. Je pense que je vais renouveler l’achat même si la durée de vie des liseuses semble être très faible. Voilà pourquoi je t’interroge sur ta liseuse couleur.
Merci d’avance.
Céline.
désolé mais ce n’est pas ma liseuse, pour ma part je suis resté au noir et blanc, pour mooi une liseuse couleur n’a de sens que pour lire des bandes dessinées.
Oh I would like that for Christmas!
just ask to father X-Mas
Je viens de le charger, je te dirai ce que j’en pense quand je l’aurai lu.
idem pour moi
Bonjour, je suis tentée et je vais voir si je l’ai dans ma liseuse. A quelle occasion faut-il transformer les formats ? Bonne fin de semaine
il faut transformer un format s’il n’est pas compatible avec la marque de ta liseuse, par exemple moi je ne peux pas lire les epubs
Oui j’ai une liseuse mais je préfère un vrai bouquin 🙂
moi j’aime les deux
Comme tu sais peut-être, suis en pause ce jusqu’en mi janvier sans doute alors très bonne fêtes à toi et GROS bisoussssssssss
bonne lecture et bonnes fêtes
Bonjour,
Pas de liseuse, du papier, j’aime mieux, plus confortable! Pour l’instant ce n’est pas dans mes envies de lire ce genre de roman.
Bonne journée
@mitié
je suis adepte des deux, les conforts sont différents et je ne les oppose pas.
Je n’aime pas ce style. J’ai une tablette où je lis des e-book mais je préfère les livres papier.
Amitié
Pourquoi ?
Si ça ne marche pas, il y a aussi celui-ci… : http://www.epubconverter.com Il convertit les fichiers epub en 5 formats différents, dont PDF et Kindle.
le meilleur et de loin est calibre.
Je ne connais pas… J’essaierai si j’en ai besoin un jour..! 🙂
Eh bien oui, je suis très tentée par ce roman…! 😀 Et je ne lis pratiquement que des ebooks sur l’écran de mon ordi. Pour transformer les fichiers ebooks en PDF ou en Word ou autres, il suffit d’aller sur l’un des sites de conversion gratuits sur le net… Comme par exemple: http://www.zamzar.com/convert/epub-to-pdf/
A plus… 😉
j’ai lu par obligation des documents sur mon pc, pour la lecture je suis livre papier ou ebook, parfois les deux pour un même livre.
c’ est oui pour la première question et non aux deux autres !
Je me rends compte que le temps me manque pour lire !
Bonne journée
Amitié
Moi je me rends compte que j’ai toujours une dizaine de livres en attente
Oui, ce bouquin me plairait…. pour le reste je n’ai pas et je ne saurais….
Bonne journée
Jean
un jour viendra surement
Oui, j’ai une liseuse, très pratique lors des déplacements et des vacances.
c’est à cause de mes déplacements que j’ai eu ma première liseuse, depuis j’alterne entre papier et ebook
je vais certainement le lire, j’aime bien ce genre de bouquin,
oui j’ai une liseuse, je lis aussi bien sur la liseuse qu’avec un bouquin, j’apprécie la liseuse en vacances , je peux transporter une bibliothèque avec légèreté
mais pour tout ce qui est technique je compte sur mon mari, c’est vrai ce n’est pas bien, je devrais m’y mettre!!!!!
bonne journée
danièle
Il t’aide surement avec grand plaisir
Bonjour, Bernie
Un peu pressée … et excitée : je vais essayer de nouvelles chaussures orthopédiques qui me permettront de retrouver la position verticale et, peut-être, marcher de nouveau !
Bon mercredi automnal.
♥ Bisoux ♥
Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ
courage
j’aime ce genre de livre, qui tiennent le lecteur en haleine, bisous et bon mercredi
alors je t’invite vivement à le lire