Avec l’arrivée du talentueux chef Jeremy Gabarrot, le restaurant de l’Hôtel**** Palladia à Toulouse s’apprête à écrire une nouvelle page culinaire, où créativité et passion seront au rendez-vous.
Jeremy Gabarrot : Un souffle nouveau dans la cuisine toulousaine
À Toulouse, le quartier Purpan voit émerger une adresse gastronomique en pleine transformation. Le restaurant de l’Hôtel**** Palladia entame une nouvelle page de son histoire avec l’arrivée du chef Jeremy Gabarrot, nommé par Georges Miatto, fondateur et Président Directeur Général de l’établissement. Ce changement prometteur s’inscrit dans une volonté claire : faire rayonner une cuisine inventive, ancrée dans le terroir, et portée par un duo familial 100 % toulousain.
Un duo toulousain aux commandes
C’est un retour aux racines pour les frères Gabarrot. Jeremy, 34 ans, rejoint son aîné Jonathan, directeur de la restauration, pour former un binôme soudé autour d’une vision commune de la gastronomie : moderne, généreuse et respectueuse des saisons.
Formé dans des maisons étoilées de renom, le jeune chef a fait ses armes auprès de figures emblématiques telles que Stéphane Buron à Courchevel ou Didier Aniès à Cap-Ferrat. Aujourd’hui, il met son savoir-faire au service d’une cuisine libre, sincère et raffinée.
« Je fais pleinement confiance à ce duo », confie Georges Miatto. « En tant que fondateur d’un établissement 100 % indépendant et résolument toulousain, je suis particulièrement heureux de voir deux frères toulousains prendre les rênes de notre cuisine. »
Jeremy Gabarrot : Une cuisine de saison, inspirée et audacieuse
Au Palladia, chaque assiette raconte une histoire. Celle d’un produit de saison, sublimé par une technique maîtrisée et une touche de créativité. Fruits et légumes occupent une place centrale dans la démarche du chef. Abricots, melons, courgettes, carottes ou encore tomates sont travaillés avec une grande précision.
Les associations surprennent et séduisent : nougat de foie gras, pomme verte et oignon ; filet de saint-pierre accompagné de courgettes et melon ; œuf parfait nappé d’une crème de courgette à la vanille de Madagascar et feta… ou encore un entremet à la fraise, parfumé à la rose et croustillant feuillantine.
« J’aime la cuisine méditerranéenne. Elle m’inspire, notamment par sa façon d’harmoniser les fruits et les légumes. Chaque jour, je commence par appeler mes fournisseurs. Le menu se construit à partir des produits disponibles », explique Jeremy Gabarrot.
Un menu renouvelé chaque semaine
Pour mieux répondre aux envies de ses clients, le restaurant propose un menu hebdomadaire, servi midi et soir du lundi au samedi. Accessible à partir de 25 €, il se compose de trois entrées, trois plats, deux desserts ou une assiette de fromages de chez Betty, et inclut systématiquement des mets « signature », plus élaborés, pour ceux en quête d’une expérience gastronomique approfondie.
Cette formule, à la croisée entre bistronomie généreuse et haute cuisine, reflète l’ambition du Palladia : offrir une table raffinée, mais jamais prétentieuse.
Une carte des vins en phase avec le territoire
La cuisine du Palladia s’ancre aussi dans le terroir grâce à une carte des vins en évolution. Le restaurant souhaite mettre à l’honneur les vignerons locaux, comme le Domaine de Roumagnac à Fronton. Un choix assumé, qui renforce le lien avec la région et valorise des producteurs souvent méconnus du grand public.
Une table accessible et plurielle
Loin des clichés de la haute gastronomie inaccessible, le Palladia s’adresse à une clientèle éclectique. Les Toulousains, qu’ils soient professionnels ou épicuriens, y trouvent une adresse idéale pour un déjeuner d’affaires ou un dîner entre amis. Les touristes, eux, découvrent une escale culinaire où le goût des produits locaux et de saison s’exprime pleinement.
Avec 300 places de parking gratuites, l’établissement mise sur la praticité pour séduire autant les habitués que les visiteurs de passage.
Un cadre propice aux instants choisis
Situé au sein d’un hôtel 4 étoiles, le restaurant du Palladia bénéficie d’un environnement calme et élégant, propice aux échanges professionnels comme aux moments de détente.
La clientèle d’affaires, locale comme internationale, apprécie particulièrement l’attention portée aux détails : service soigné, ambiance chaleureuse, cadre raffiné, et une carte qui sait surprendre tout en restant lisible.
« Avec mon frère, nous voulons construire un projet pérenne, fondé sur une cuisine authentique et inventive. C’est un engagement quotidien que nous partageons avec notre équipe et nos fournisseurs », confie Jonathan Gabarrot.
Une démarche écoresponsable affirmée
Le Palladia ne se contente pas de bien manger. Il veut aussi bien faire. L’établissement est labellisé Clef Verte pour l’année 2025, un label exigeant, remis aux hôtels et restaurants engagés dans une démarche environnementale volontaire et rigoureuse.
Cela passe par des actions concrètes : réduction des déchets, approvisionnement local, gestion raisonnée de l’énergie et de l’eau, et un dialogue constant avec les producteurs. Ce respect de l’environnement fait désormais partie intégrante de l’identité du restaurant.
Jeremy Gabarrot : Une renaissance prometteuse
Une adresse à découvrir ou redécouvrir
Le restaurant du Palladia ne se contente pas de changer de chef. Il change de cap. Grâce au talent et à la complicité des frères Gabarrot, cette table toulousaine prend un nouvel envol, où la créativité se marie au terroir, et où la qualité rime avec accessibilité.
Si vous êtes curieux de saveurs nouvelles, attentifs aux saisons, ou simplement en quête d’un bon moment autour d’une belle table, cette adresse mérite toute votre attention.
Et vous, que pensez-vous de cette nouvelle orientation culinaire ?
Avez-vous déjà testé le restaurant du Palladia ou envisagez-vous d’y aller prochainement ?
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C’est un restaurant à tester si je venais sur Toulouse
Il mérite le détour.
Un peu loin pour moi, Toulouse.
Pourtant une ville que j’aurais aimé visité.
Bonne soirée.
Dommage.
Toulouse, trop loin pour moi, que le succès soit au rendez-vous, c’est bien parti….
Merci pour lui.