Fromage au lait cru de vache, le Morbier est membre de la famille des pâtes pressées non cuites. Ses arômes sont fruités avec des goûts de yaourt, vanillé lactée voire même caramel au lait. Il est parcouru en son centre par une raie noire horizontale, du charbon végétal, ce qui le rend très facilement reconnaissable.
Découverte de l’AOP Morbier
Le saviez-vous ? Il faut 60 à 70 litres de lait pour fabriquer une meule de Morbier d'un poids moyen de 7 kg.
Environ 2 000 éleveurs de vaches de races locales (Montbéliarde et Simmental Française) répartis dans le Doubs, le Jura, quelques communes de Saône et- Loire et quelques communes de l'Ain, une cinquantaine de fabricants et une dizaine d'affineurs produisent aujourd'hui plus de 11 000 tonnes de Morbier par an.
D'abord d'Appellation d'Origine Contrôlée en 2000, puis Protégée en 2002, la production de Morbier s'est largement accrue. (+260% en 20 ans).
Le territoire de l’AOP Morbier
Une cinquantaine de fabricants et une dizaine d’affineurs produisent aujourd’hui plus de 11 000 tonnes de Morbier par an.
Environ 2 000 éleveurs peuvent produire du lait répondant aux critères de l’AOC/AOP Morbier. Ils sont répartis dans le Doubs, le Jura, quelques communes de Saône-et-Loire et quelques communes de l’Ain.
Depuis l’obtention de l’Appellation d’Origine, la production de ce fromage s’est largement accrue.
La famille du Morbier s’agrandit
Depuis qu’il a le droit de porter les insignes de l’Appellation d’Origine Contrôlée, en 2000, puis Protégée, en 2002, le monde du Morbier connaît une progression constante.
Ils semblent loin les temps où, pour la première année bénéficiant de l’AOC, la production s’élevait à 3 065 tonnes.
Vingt ans après, l’appellation trouve son rythme de croisière aux alentours des 11 000 tonnes.
L’AOP Morbier est depuis sa création gérée par un syndicat interprofessionnel qui rassemble l’ensemble des représentants des acteurs de la filière. Le siège du syndicat est installé à Poligny.
En moins de 15 ans, tous les acteurs de la filière ont renforcé la culture fromagère de la Franche-Comté, permettant à de nombreuses fromageries de se développer, participant dans l’animation de la vie rurale et à la promotion de la Franche-Comté.
En 10 ans la production de Morbier a augmenté de 39%.
Tous les jours, sur chaque meule de Morbier, les producteurs remettent leur ouvrage en jeu. Il faut plus que jamais à la fois, veiller à obtenir une qualité sanitaire irréprochable des fromages et porter plus haut encore son goût et sa diversité. Comme on peut s’en apercevoir chaque année lors du concours annuel, il n’y a pas un Morbier mais des Morbiers.
Chacun peut alors le déguster à sa convenance, avec un simple morceau de bon pain et un verre de vin rouge ou dans les innombrables recettes, dont certaines vous seront proposées prochainement sur le blog web Journal Bernieshoot, que permettent les bonnes pâtes des Morbiers.
fan de fromage je ne peux qu’adorer!
merci! bonne journée
moi aussi
My favourite French cheese is camembert.
ah ah I was sure of that
Salut, C’est un trés bon fromage le morbier.
Le temps est super pour finir de peindre le mur .
Alors cet après midi on va s’y atteler.
Bonne journée
j’adore ce fromage
C’ est un fromage que j’apprécie parmi tant d’autres !
Bonne journée Bernie
moi aussi
Ce n’est pas mon formage préféré, mais les enfants adorent. Alors, j’en achète quand ils sont là. 🙂
Merci pour ce partage.
Passe une douce journée.
c’est un fromage que j’aime aussi
Bonjour Bernard
Ici ,les fromages sont plutt fades..mangeables mas faes.
Les fromaes français me manquent enormément, ils existent pourtant dans certain rayons, mais sont super chers et on perdu leurs gouts( à cause du transport ou du prix,? question à méditer)
Bonne journée!
un peu des deux sans doute
ah moi et le fromage c’est toute une institution, difficile de m’en passer…..passe un doux jeudi
ici c’est aussi la même institution