Une envie de soleil et de dépaysement, de voyage et de découvertes ? Une assiette exotique suffit parfois à vous embarquer très loin !
J’ai flashé sur la recette PAVILLON FRANCE qui nous propose un bibimbap iodé à 10 pattes, qui fera voyager vos papilles de la Corée au Nord-Est de la côte Atlantique en moins d’une heure chrono en main !
Au départ, le bibimbap est un mets traditionnel et très populaire en Corée. Très souvent, il s'agit d'un mélange de riz, de viande de bœuf, de légumes sautés ou blanchis, ensuite assaisonnés, et d'un œuf sur le plat, le tout relevé par de la pâte de piment coréenne.
Mais revisiter une recette est tout sauf interdit, c’est même aujourd’hui la garantie d’un dépaysement total.
Quantité : 2 personnes
Préparation : 35 minutes
Cuisson : 25 minutes
Repos du bouillon : 1 nuit
INGRÉDIENTS :
• 200 g de chair d’araignée de mer
• 1 oignon rouge
• 150 ml de vinaigre de riz
• 100 g de sucre en poudre
• 1 feuille de laurier
• 4 grains de poivre
• 4 œufs
• 1 cuillère à soupe de graines de sésame noir
• 200 g de riz basmati cuit
• 2 cuillères à soupe d’huile de sésame
• 1 carotte
• 1 courgette
• 250 g de champignons bruns
• 1/4 de concombre
• 100 g de chapelure
• 1 échalote
• 1 citron
• 50 g de fromage frais
• Sel et poivre
• Huile de tournesol
Préparation :
Prêts pour la dégustation ? Préparez vos baguettes !
Bibimbap d'araignée de mer
L’araignée : un crustacé recensé pour une pêche sensée…et responsable !
Afin de gérer de manière durable les ressources marines, il est primordial de mieux connaître les espèces (stocks d’individus pour une espèce, cycles de vie, périodes et zones d’abondance, etc.).
Porté par l’IFREMER, et soutenu par France Filière Pêche, le programme de recherche scientifique RECCRU (RECrutement* CRUstacés) a pour objectif d’améliorer la connaissance de 4 espèces de crustacés (l’araignée, le homard, le tourteau, et la langouste rouge), afin de prévoir l’évolution à moyen terme de leurs populations et adapter la gestion des pêches sur ces espèces.
Grâce à des collecteurs posés sur le fond, pêcheurs et scientifiques récupèrent les larves, pour en faire un échantillonnage, et ainsi estimer le nombre d’individus par m².
Chaque année le nombre de nouveaux individus (ou niveau de recrutement annuel) des 4 espèces pourra ainsi être évalué et constituer à terme une base de données.
*quantité de jeunes individus atteignant une taille suffisante pour rejoindre le groupe des individus pouvant être péchés.