Voici un des exercices photographiques que je me suis imposé dimanche en me rendant à Toulouse, être capable de produire un regard sur le mécontentement actuel face à la « Loi Travail ».
Le défile du 1er mai était une bonne source, mais au détour des rues j’ai pu capturé des messages que j’ai trouvé totalement approprié et qui sont un reflet d’une expression qui existe depuis très longtemps face aux différents gouvernements.
Suite à ma formation WikiMOOC, mon esprit était de pouvoir apporter l’expression d’avis favorable à cette loi : mon regard photographique n’a pas pu en trouver.
Un défilé sous le soleil avec de nombreux slogans pour le retrait total de la Loi travail. La personne figurant en photo de couverture m’a donné son autorisation, donc inutile de le demander en commentaire.
Un défilé où la tranche 25 - 45 ans m'a semblé briller par son absence et qui marque une réalité expliquant pour partie l'évolution de notre société.
Comme toujours retrait total et négociation créent une division. J’ai en mémoire cette phrase : « Si l’esclavage tait rétabli, certains négocieraient le poids des chaines ».
Pour « Eh Oh La gauche » la loi n’est pas comprise, les réactions montrent qu’au contraire elle a très bien été comprise.
Le statut des intermittents est de nouveau sur la sellette qui menace d’ajouter de la précarité à la précarité.
Ce slogan est très fort, aussi fort que la séparation des Eglises et de l’Etat et pour mémoire c’est le 9 décembre 1905, que le député socialiste Aristide Briand (43 ans) qui a fait voter la loi concernant la séparation des Eglises et de l'État.
Les coordinations permettent une union, elles ont un rôle différent de celui des syndicats.
Il y a bien longtemps que je n’en avais pas lu, moi qui viens d’une ville où j’ai croisé Jack Ralite à la remise des prix de la communale en fin d’année. c'est vrai #OnVautMieuxQueCa
« Ni Dieu ni maître » est un des slogans phare de mai 68 dont l’origine vient du titre d'un journal, fondé en 1880, par le socialiste révolutionnaire Auguste Blanqui .
Allons-nous avoir un nouveau journal révolutionnaire « Ni loi, ni travail » fondé par un révolutionnaire socialiste ?